Gelobet seist du, Jesu Christ
(Cantate BWV 91)
de Jean Sébastien Bach
Blog Protestant Réformé
Jean Calvin
"Puisque Dieu, par conséquent, nous justifie par la Médiation du Christ, Il nous Acquitte, non pas par l'aveu de notre innocence personnelle, mais par une imputation de la justice ; de sorte que nous, qui sommes injustes en nous-mêmes, sommes considérés comme Justes en Jésus Christ."
Ouvrez votre maison
à l'homme sans asile.
Soyez heureux de partager ;
ne maltraitez pas l'étranger qui,
rongé de chagrin, sur vos terres s'exile...
BM
Bonne fête de la Nativité !
Joyeux Noël
à toutes et tous !
Que Dieu bénisse
Chacune et chacun d'entre vous !
Refuge Protestant
Que te dirai-je, mon Seigneur et mon Dieu, après tant de grâces que tu m'as faites aujourd'hui, mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé devant la face de tous les peuples, la lumière des nations, la gloire d'Israël; laisse maintenant aller ton serviteur. Il est vrai que je n'ai pas vu des yeux de mon corps avec Siméon, le Sauveur que tu nous as donné, et je ne l'ai pas tenu entre mes bras comme ce saint homme; mais je l'ai vu des yeux de mon esprit et de ma foi; non seulement j'ai contemplé les sacrés signes de son corps et de son sang, et je les ai tenus entre mes mains; mais j'ai embrassé par ma foi ce divin Rédempteur, et je l'ai logé dans mon cœur.
Béni sois-tu notre Dieu, notre Père, Dieu d’amour, Dieu de vérité, Dieu de toute grâce. Nous te bénissons de nous avoir donné Jésus-Christ, notre Seigneur. Car lui, le Fils unique est descendu des cieux, du sein du Père sur la terre pour te glorifier ; pour que ton nom soit sanctifié, pour que ton règne vienne, pour que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Et, ayant tout accompli en perfection, tu l’as glorifié ; tu l’as élevé au plus haut des cieux et fait siéger à ta droite couronné de plusieurs diadèmes. (...)
En ce temps de commémoration, nous aimons à tourner nos regards vers l’histoire pour y admirer ta fidélité, ta bienveillance, ta miséricorde envers ton Église, qui a subsisté jusqu’à ce jour et que tu continues fidèlement de bâtir. (...)
C’est pourquoi, nous te prions qu’en nous souvenant de nos pères spirituels, nous soyons à notre tour, animés de la même foi ; cette foi active, fervente, qui s’empare de tes promesses et marche avec persévérance, fixant les yeux sur Jésus, pour atteindre le prix de l’appel céleste.
Car toi Seigneur, tu es le même, hier, aujourd’hui et éternellement, veillant inlassablement sur tes Églises. (...)
Nous te rendons grâce pour le ministère de ta Parole qui édifie ton Église ; qu’elle nous soit encore exposée aujourd’hui ; ouvre les oreilles de nos cœurs pour écouter ses exhortations, ses avertissements, ses répréhensions, ses encouragements, ses consolations ; et accorde-nous la volonté et la force d’y conformer nos vies.
Oui, que ta Parole, pure lumière, éclaire et guide tous nos pas pour que nous puissions, notre Dieu, te glorifier ici-bas.
À toi, notre Dieu, notre Père, qui nous transportas sans retour dans le royaume de Jésus, fils de ton amour.
À toi soit honneur et sagesse, Dieu d’amour, Dieu de vérité. A toi la force et la richesse durant toute l’éternité !
Et nous prosternant devant toi, nous te bénissons ! Amen.
Pour lire l'ensemble complet de la prière d'intercession sur le site Par la Foi,
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Joyeux Noël
à toutes et tous !
Bonne fête de la Nativité !
Que Dieu bénisse
Chacune et chacun d'entre vous !
Refuge Protestant
Gelobet seist du, Jesu Christ
(Cantate BWV 91)
de Jean Sébastien Bach
Louange à toi, Jésus-Christ, pour être né homme d'une vierge, en vérité, c'est ce dont se réjouit l'armée des anges. L'éclat de la magnificence du Très-haut, l'image même de Dieu, a à l'heure fixée, pris demeure. L'enfant unique du Père éternel, lumière éternelle née de la lumière, se trouve maintenant dans la mangeoire. O hommes, contemplez donc ce qu'a fait ici la puissance de l'amour ! Dans notre pauvre corps fait de chair et de sang ! Celui-ci n'était il pas maudit, condamné, perdu ? L'éternelle bonté est vêtue. Ainsi recevra-t-il bénédiction. Dieu, pour qui le globe terrestre est trop petit, que ni la terre ni le ciel ne peuvent contenir, se révèle dans une petite crèche. Si la lumière éternelle nous rejoint ainsi, Dieu ne pourra dorénavant plus nous prendre en haine, nous qui sommes les enfants de cette lumière. Ah Peuple chrétien, allons, prépare-toi à recevoir chez toi le Créateur ! Le Puissant Fils de Dieu s'invite chez toi. Ah laisse ton cœur être touché par cet amour ; Il vient à toi pour te guider à travers cette vallée de larmes à son Trône. La misère que Dieu assume, nous a vraiment désigné un salut éternel, la surabondance des trésors célestes. En se faisant homme, il te fait participer à la splendeur des anges. Il t'installe dans leur chœur. Tout cela, Il l'a fait pour nous montrer l'immensité de son amour. Le Peuple Chrétien tout entier s'en réjouit et lui en est reconnaissant pour l'éternité.
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et le gouvernement sera sur son épaule ; et son nom sera appelé merveilleux conseiller, le Dieu puissant, le père éternel, le prince de la paix.
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Noël - l'espoir pour les désespérés
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Jésus dit : " Venez à moi, tous ceux qui travaillent et sont lourds en charge, et je vous donnerai le repos." (Matthieu 11:28)
Le sang de Jésus-Christ parle aux gens à qui rien d'autre ne parle.
Le sang du Christ ne donne Son Invitation qu'à certaines personnes.
A qui l'Invitation de la croix du Christ est elle adressée ?
Il s'agit de ceux vivant d'échecs, ces gens qui savent qu'ils ont mal tourné, ces gens qui sont remplis d'un sentiment de honte, les gens qui sont fatigués et malheureux dans la lutte.
Jésus dit : " Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai le repos." (Matthieu 11-28)
Il parle de gens qui travaillent pour vivre une propre, bonne et saine vie.
C'est ce que cela signifie en travaillant et en étant lourd en charge - la Loi de Dieu, les Commandements, les idéaux moraux.
Vous avez essayé, sué et jeûné, mais vous avez échoué misérablement.
Est-ce que vous pensez que tout dans votre vie est un échec, que tout est sans espoir ?
Est-ce que vous vous méprisez et ne vous sentez pas bien ?
Fatigué, désespéré, et au-dessus de tout, triste et misérable !
Rien ne peut vous réconforter.
Les plaisirs du monde se moquent même de vous.
La vie vous a déçu, et vous êtes triste, malheureux, et en plus de tout cela, vous avez un sentiment de culpabilité en vous.
Votre conscience vous harcèle, et vous savez que vous êtes indigne ; vous savez que votre vie est un échec cuisant ; vous savez qu'il n'y a pas d'excuse, vous vous savez coupable.
Mais encore pire, vous savez que vous êtes impur, vous savez que votre cœur est impur.
Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols et tout le reste. (Matthieu 15-19)
Le cœur est le problème, et vous en êtes venu à constater que vous êtes pourri, qu'en vous il n'y a rien de bon.
Malheureux, dites-vous, qui me délivrera ?
Et ensuite, en plus de tout cela, vous êtes envahi par un sentiment de peur.
Vous avez peur de la vie, vous avez peur de vous-même et de vos propres faiblesses, vous avez peur de demain.
Vous avez peur de la mort, vous savez que cela arrive et vous ne pouvez rien faire à ce sujet.
Oh, qu'est-ce qu'il y a au-delà ? Les pensées viennent à vous de ce " voyage inconnu à partir duquel aucun voyageur ne revient. "
La mort approche, arrive, et vous êtes là, vous ne pouvez rien faire, vous vous sentez coupable, pleins de peur envers Dieu, du jugement, de l'enfer, la terreur et l'alarme vous possèdent.
Vous vous sentez totalement sans espoir, sans défense, complètement impuissant.
Vous avez essayé si souvent, seulement pour échouer.
Vous avez pris vos résolutions, mais vous ne les avez jamais gardées...
Vous vous dites, je ne suis pas bon, je suis damné, je suis perdu, je suis indigne, je suis une masse de pollution.
" Oh, misérable homme que je suis ! " en moi ( c' est-à-dire dans ma chair ) n'habite aucune bonne chose" (Romains 7:24, 18).
Et c'est ce qui est chose incroyable avec la Croix de Christ.
Cela arrive à une telle personne, et c'est à elle plus que tout autre, je dirai même, au-dessus de tous les autres, qu'elle apporte Sa Gracieuse et Sa Glorieuse Invitation.
Qu'est-ce que cela vous dit ?
Je ne parle pas à des personnes auto-satisfaites et pieuses en ce moment, convaincu que vous vous êtes vu dans toute l'horreur de votre auto-duperie.
Je parle bien à ceux qui sont sur le terrain, qui traînent, rampent dans leur impuissance totale, avec la culpabilité et le sentiment d'impureté et de honte, ayant perdu leur chasteté, leur pureté, leur moralité, leur tout.
Pour quelqu'un comme cela, je dirais : " vous qui êtes loin, la Croix vous parle avec sympathie."
Cet homme (Jésus-Christ) mourant sur cette croix était connu comme l'ami des publicains et des pécheurs.
Il a été honni et insulté par les "bons" et les "religieux" parce qu'Il s'est assis, a mangé et bu avec des publicains et des pécheurs. Christ avait de la sympathie.
Mais pas seulement cela, Christ vous dira qu'Il est prêt à vous accepter.
Le monde "retrousse sa jupe" et passe. Il vous laisse seul, il ne veut pas s'associer avec vous, vous êtes descendu, tombé, vous appartenez aux ordures et aux caniveaux, et le monde est trop "respectable" pour avoir un quelconque intérêt pour vous.
MAIS en voici un (Jésus-Christ) qui est Prêt à vous recevoir et à vous accepter.
En voici un avant tout qui vous donne le Repos.
Christ promet, en disant : "Venez à moi, vous tous qui travaillez et êtes chargés, lourds, et je vous donnerai le repos" -
Fin à cette lutte vaine, futile et inutile.
"Asseyez-vous" dit-Il, "et écoutez Mon Sang coulant pour vous est en train de parler. "
"Arrêtez, abandonnez vos activités. Tout comme vous êtes, Je suis Prêt à vous Recevoir ; dans vos guenilles, dans votre crasse et saleté, dans votre bassesse - reposez-vous enfin !"
Qu'est-ce qu'il y a d'autre ? Pardon, Le Pardon.
La Croix de Jésus-Christ parle de Pardon, de Pardon ! De Joie et de Paix avec Dieu.
Il vous dit que Dieu est Prêt à vous Pardonner ; le Sang de Jésus-Christ vous dit ça.
Il dit : " Écoutez-moi, votre péché a été puni. Je suis ici (sur la croix) parce que c'est la punition du péché. Écoutez-Moi, dit le sang de Jésus-Christ. Mon Sang a été versé pour que vous puissiez et soyez Pardonné, Pardonné, en Paix avec Dieu."
Oh, Dieu merci, il y a aussi une Purification ici.
Lorsque vous sentez votre bassesse et que vous voyez les imperfections et les taches de l'iniquité sur vous, vous apprenez que :
Il y a une fontaine remplie de sang,
Tiré des veines d'Emmanuel,
Et les pécheurs plongés sous ce flot, sous cette inondation,
Perdent toutes leurs taches de culpabilité.
Le voleur mourant s'est réjoui de voir,
Cette Fontaine dans son jour ;
Et moi, aussi vil que lui,
Lavé de tous mes péchés.
C'est ce que dit le Sang de Jésus-Christ.
Pour que cela vous dise que dans votre misère, de votre misère ! Vous pouvez avoir de la Joie, de la Beauté au lieu des cendres.
Vous serez une Nouvelle Nature. vous aurez ENFIN un Nouveau Départ dans la Vraie Vie.
Il vous donnera la capacité et force pour résister à tout ce qui vous a fait tomber, abattu, et Il vous donnera ENFIN un espoir Éternel.
Le Sang de Jésus-Christ dit que le fils de Dieu a Porté Toute votre punition, que tout ce qui se tenait, se trouvait entre Dieu et vous pardonner a été enlevé.
Que Dieu vous pardonne tout, librement et immédiatement.
La Croix de Jésus-Christ annonce un Don Gratuit de Pardon, de Réconciliation et de Restauration, ainsi que Tout ce dont vous avez besoin : une Nouvelle Vie dans le Christ et une Espérance Éternelle tout à la fois.
Tout vient de cette Personne Bénie, dont le Corps a été brisé et dont le Sang a commencé à couler, sur la croix.
Il vous Invite, Il vous Appelle. Vous L'entendez, êtes-vous prêt ?
Mais oh, dit quelqu'un, tu n'as aucune idée de ce que je suis, tu n'as aucune idée de ce que j'ai fait, tu n'as aucune idée de ce que j'ai été.
Mais mon cher ami, vous n'êtes pas le premier à avoir dit ça.
Un homme a écrit un hymne que l'on chante souvent, et il le présente ainsi :
" si je Lui demande de me recevoir, va-T-Il me dire non ?
Va-t'-Il vraiment me recevoir si je Lui demande de me recevoir, ou va-t'-Il me dire non ?
C'est la réponse : " pas avant que la terre et pas avant que le ciel ne disparaisse".
Encore une fois, vous demandez :
" trouver, suivre, garder, lutter,
Est-ce qu'Il est sûr de bénir ? '
Voici à nouveau la réponse :
Des Saints, des Apôtres, des Prophètes, des Martyrs, des Martyrs, des Martyrs,
Répondez "oui".
Certains des plus grands saints que l'Eglise ait jamais connus étaient autrefois des pécheurs ignobles, vils et odieux, mais ils ont entendu l'Invitation venant du Sang de Jésus-Christ coulant pour eux, ils L'ont cru, et ils ont trouvé que c'était vrai.
Donc trouver, suivre, garder, se battre, est-ce qu'Il est sûr de Bénir ? Voici la réponse.
Non seulement la Parole de Dieu le dit, non seulement Le Sang de Jésus-Christ le dit, mais également les saints des siècles le disent :
" les Saints, les Apôtres, les Prophètes, les Martyrs, la réponse est " oui ".
Faites-Lui confiance. Il n'a jamais Brisé et Rompu Sa Parole ; Il n'a jamais perdu, ni ne revient ou repris Sa Promesse.
Croyez !
Il est écrit : "le Sang de Jésus-Christ Son Fils nous Purifie de tous les péchés" (1 Jean 1:7).
Je vous demande donc de vous joindre à l'auteur de l'hymne pour dire :
J'entends Ta Voix de Bienvenue,
Qui m'appelle, Seigneur, à Toi,
Pour Purifier dans Ton Sang Précieux
Qui a coulé sur le calvaire.
J'arrive, je viens Seigneur !
Je viens à Toi maintenant !
Lave-moi, Purifie-moi, dans le sang.
Celui coulé sur le calvaire.
Faites-cela et vous verrez que cela est vrai.
Amen,
Martyn Lloyd-Jones,
Ministre, Théologien et Médecin Protestant Calviniste Gallois
Source :
Extrait de " la croix du Christ parle ", chapitre 7, de " la croix " de Martyn Lloyd-Jones ( Ministre, Théologien et Médecin Protestant Calviniste Gallois, influent au sein de l'aile Réformée du mouvement Méthodiste Britannique au XXème siècle, il fut pendant près de 30 ans, Ministre de la Westminster Chapel à Londres. )
Il était une fois, sur une montagne, trois arbres qui partageaient leurs rêves et leurs espoirs.
Le premier dit :
" Je voudrais être un coffre au trésor, richement décoré, rempli d'or et de pierres précieuses. Ainsi tout le monde verrait ma beauté ".
Le deuxième arbre s'écria :
" Un jour, je serai un bateau solide et puissant, et je transporterai les reines et les rois à l'autre bout du monde. tout le monde sentira en sécurité à mon bord ! ".
Le troisième arbre dit :
" Je veux devenir le plus grand et le plus fort des arbres de la forêt. Les gens me verront au sommet de la colline, ils penseront au ciel et à Dieu, et à ma proximité avec eux ; je serai le plus grand arbre de tous les temps et les gens ne m'oublieront jamais ! ".
Les trois arbres espérèrent pendant plusieurs années pour que leurs rêves se réalisent.
Et un jour, survinrent trois bûcherons.
L'un d'eux s'approcha du premier arbre et dit :
" Cet arbre m'a l'air solide, je pourrais le vendre à un charpentier ".
Et il lui donna un premier coup de hache.
L'arbre était content, parce qu'il était sûr que le charpentier le transformerait en coffre au trésor.
Le second bûcheron dit en voyant le second arbre :
" Cet arbre m'a l'air solide et fort, je devrais pouvoir le vendre au constructeur de bateaux".
Le second arbre se réjouissait de pouvoir bientôt commencer sa carrière sur les océans.
Lorsque les bûcherons s'approchèrent du troisième arbre, celui-ci fut effrayé, car il savait que si on le coupait, ses rêves de grandeur seraient réduits à néant.
L'un des bûcherons s'écria alors :
" Je n'ai pas besoin d'un arbre spécial, alors, je vais prendre celui-là".
Et le troisième arbre tomba.
Lorsque le premier arbre arriva chez le charpentier, il fut transformé en une simple mangeoire pour les animaux.
On l'installa dans une étable et on le remplit de foin.
Ce n'était pas du tout la réponse à son souhait.
Le second arbre qui rêvait de transporter des rois sur les océans, fut transformé en barque de pêche.
Ses rêves de puissance s'évanouirent.
Le troisième arbre, dépité, fut débité en larges pièces de bois, et abandonné dans un coin.
Les années passèrent et les arbres oublièrent leurs rêves passés.
Puis un jour, un homme et une femme arrivèrent à l'étable.
La jeune femme donna naissance à un bébé et le couple l'installa dans la mangeoire qui avait été fabriquée avec le premier arbre.
L'homme aurait voulu offrir un berceau pour le bébé, mais cette mangeoire ferait l'affaire.
L'arbre comprit alors l'importance de l'événement qu'il était en train de vivre, et su qu'il contenait Le Trésor le plus Précieux de tous les temps.
Des années plus tard, un groupe d'hommes monta dans la barque fabriquée avec le bois du second arbre ; l'un d'eux était fatigué et s'endormit.
Une tempête terrible se leva, et l'arbre craignit de ne pas être assez fort pour garder tout son équipage en sécurité.
Les hommes réveillèrent alors celui qui s'était endormi ; il se leva et dit :
" Paix !"
Et la tempête s'arrêta.
À ce moment , l'arbre su qu'il avait transporté le Roi des rois.
Enfin, quelqu'un alla chercher le troisième arbre oublié dans un coin ; il fut transporté à travers les rues, et l'homme qui le portait se faisait insulter par la foule.
Cet homme fut cloué sur les pièces de bois élevées en croix, et mourut au sommet de la colline.
L'arbre réalisa qu'il avait été assez fort pour se tenir au sommet de la colline et être aussi proche de Dieu que possible, car Jésus avait été Crucifié à son bois.
Chacun des trois arbres a eu ce dont il rêvait, mais d'une manière différente, de ce qu'ils imaginaient.
Nous ne savons pas toujours quels sont les Plans de Dieu pour nous.
Nous savons simplement que Ses Voies ne sont pas les nôtres, mais qu'elles sont toujours Meilleures si nous Lui faisons confiance.
" Je vous annonce une Bonne Nouvelle,
qui sera pour tout le peuple le sujet d'une grande joie :
c'est qu'aujourd'hui, dans la Ville de David,
il vous est né un Sauveur,
qui est le Christ, Le Seigneur."
(Luc 2/10-11)
Refuge Protestant
vous souhaite
un joyeux Noël !
Que Dieu bénisse
chacune et chacun
d'entre vous.
Ô Dieu ! Produis dans nos cœurs les dispositions que tu demandes pour nous présenter devant toi, pour participer aux gages de ton amour, et pour entrer dans ta communion, afin que nous puissions recevoir dans ta Bethléhem la consolation que nous attendons de ta bonté, et qu'avec les bergers, nous nous en retournions dans nos maisons en te glorifiant sur la terre, comme nous te glorifierons dans le ciel. Amen,
Infant Holy / Silent Night · R.C. Sproul / ℗ 2009 Ligonier Released on: 2008-10-24 Producer : Dan Goeller Producer : Heidi Goeller
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu Puissant, Père Eternel, Prince de la Paix .
Le choeur "For unto us a child is born", n° 12 de la première partie du Messie HWV 56 de G.F. Haendel (1685-1759), composé en trois semaines seulement (du 22 août au 12 septembre 1741). Le livret du Messie est essentiellement constitué de textes bibliques. Le choeur "for unto us a child is given" provient de l'Ancien Testament, il s'agit de la prophétie d'Ésaïe sur la venue du Messie (chapitre 9 verset 5): "Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la souveraineté reposera sur son épaule: on l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
L'air "Rejoice greatly, o daughter of Zion" pour soprano coloratura, extrait du Messie de GF Haendel (n° 18 de la 1e partie), les paroles proviennent du livre du prophète Zacharie dans l'Ancien Testament (9:9) : "Sois transportée d'allégresse, fille de Sion! Lance des clameurs, fille de Jérusalem! Voici ton roi, il vient vers toi; il est juste et victorieux, il est humble et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d'une ânesse." Ces paroles messianiques sont citées dans l'évangile selon Matthieu lors de l'entrée de Jésus à Jérusalem, monté sur un ânon (chapitre 21:4-5), raison pour laquelle elles figurent dans le livret du Messie de Haendel.
Joy to the World / O Come, All Ye Faithful · R.C. Sproul / ℗ 2009 Ligonier Released on: 2008-10-24 Producer : Dan Goeller Producer : Heidi Goeller
Que te dirai-je, mon Seigneur et mon Dieu, après tant de grâces que tu m'as faites aujourd'hui, mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé devant la face de tous les peuples, la lumière des nations, la gloire d'Israël; laisse maintenant aller ton serviteur. Il est vrai que je n'ai pas vu des yeux de mon corps avec Siméon, le Sauveur que tu nous as donné, et je ne l'ai pas tenu entre mes bras comme ce saint homme; mais je l'ai vu des yeux de mon esprit et de ma foi; non seulement j'ai contemplé les sacrés signes de son corps et de son sang, et je les ai tenus entre mes mains; mais j'ai embrassé par ma foi ce divin Rédempteur, et je l'ai logé dans mon cœur.
Je me jette à tes pieds, mon Seigneur et mon Dieu! tout pénétré de tes bienfaits, et ne pouvant trouver des paroles assez fortes pour te marquer ma reconnaissance, j'emprunterai aujourd'hui le cantique des anges, et me joignant avec ces armées célestes, qui firent retentir les vallées de Bethléhem de leur voix; je dirai: Gloire soit à Dieu aux lieux très-hauts; paix sur la terre, et envers les hommes bonne volonté. Gloire soit à Dieu, Père Éternel ! qui nous as donné ton cher Fils; à toi, Seigneur Jésus ! qui t'es donné toi-même à nous; à toi, Esprit Saint ! qui as conçu et formé le corps de notre Sauveur.
Mon Seigneur et Mon Dieu, Tu me vois prosterné devant Ta Majesté Souveraine, pour Te supplier de me donner Ton Saint-Esprit, afin que je puisse comprendre, avec tous les saints, la hauteur, la largeur, la profondeur et la longueur de Ta Charité.
Mon esprit et mes pensées se confondent, quand je considère jusqu'à quel point Tu nous as aimés, Toi le Saint des saints, Le Créateur de l'univers, Le Roi des anges et des hommes ; Toi qui possèdes toutes les perfections ; qui as le ciel pour Trône, et la terre pour Ton marchepied ; nous qui rampons dans la poudre, et qui sommes souillés depuis la plante de nos pieds jusqu'au sommet de nos têtes ; nous qui étions soulevés contre Toi, et qui méritions toute Ta haine.
Comment, ô Dieu, as-Tu pu nous aimer, jusqu'à nous donner Tout ce que Tu avais de plus cher ?
Ton Fils, Ton Propre Fils, Ton Unique, la Splendeur de Ta Gloire; l'Empreinte de Ta Personne, Ton Image Parfaite, par qui Tu as fait les siècles, et qui soutient toutes choses par Sa Parole Puissante.
Si Tu avais donné Ton Fils pour les anges, ces intelligences célestes, qui T'adorent dans les cieux dans une parfaite innocence, ou si Tu l'avais donné pour nos premiers parents, pendant qu'ils étaient justes, nous aurions déjà sujet d'admirer Ta Bonté Infinie.
Mais Tu L'as envoyé ce Fils pour des créatures qui ne méritaient pas de voir La Lumière, et qui étaient dignes de toutes les foudres de Ta Colère, qui avaient foulé aux pieds Tes Divines Lois, et qui méprisaient les richesses de Ta Patience.
Si le Fils que Tu nous as donné était un simple mortel, que Tu eusses pourtant élevé au-dessus des autres hommes par des qualités éminentes, nous aurions encore matière de Te rendre nos actions de grâces, de ce que Tu as pensé à nous, et de ce que Tu as eu Compassion de notre misère.
Mais ce Cher Fils, que Tu as Fait descendre du Ciel pour nous sauver, est Dieu Béni Eternellement avec Toi ; Il possède avec Toi la Même Essence, la Même Gloire, la Même Majesté, les Mêmes Perfections.
Cependant Tu nous L'as donné, et Tu L'as exposé à la mort pour nous rendre éternellement Bienheureux.
Ô Dieu, Ta Fidélité atteint jusqu'aux nues, mais Ta Bonté et Ta Miséricorde est au-dessus des cieux.
Nos esprits sont trop petits pour concevoir Toute La Grandeur de Ton Amour ; mais, Seigneur, ne permets pas que nous soyons ingrats à Tes Faveurs Inestimables.
Puisque Tu nous as Aimé d'un Amour qui surpasse toute connaissance, fais aussi que nous T'aimions autant que nous sommes capables d'aimer ; plus que toutes les plus excellentes créatures, infiniment plus que nous-mêmes, et que tout ce qui est dans nous.
Que nous T'aimions sur la terre comme nous T'aimerons dans le Ciel.
Nous Te demandons cette Grâce par ce Cher Fils que Tu nous as donné.
Amen.
Bénédict Pictet.
Prières pour les jours de sainte cène, de Noël, de Pâques, de Pentecôte et de septembre, et pour les jours de jeûne.
Source : Pensées365
Il y a plusieurs versions concernant le premier arbre de Noël dans l’histoire.
Il y a celle de l'arbre de Noël décoré à Riga, la capitale de la Lettonie, comme bien d'autres sur des origines païennes.
Il semble en effet que l'arbre de Noël est une tradition scandinave et Luthérienne par la suite et non calviniste. Elle aurait été introduite en France par une Princesse Luthérienne vers la fin du XIXème siècle, et à priori n'était pas une pratique des huguenots français.
Cependant, l’histoire la plus crédible à ce sujet et qui nous intéresse d'autant plus autrement que des significations loin du rappel de la naissance de Notre Sauveur semble bien être celle du fondateur du protestantisme, Martin Luther, qui aurait été le premier, semble t-il à avoir décoré un arbre de Noël.
Selon celle-ci, le moine allemand se promenait dans les bois et fut inspiré par la beauté des étoiles qui brillaient dans le ciel.
Il remarqua que, à une certaine distance, elles ressemblaient à des branches d’arbres.
Il décida donc d’abattre un petit arbre et de le ramener chez lui.
Il plaça de nombreuses petites bougies sur les branches de l’arbre, et à partir de là, l’idée d’un arbre de Noël fut née.
Autre récit, Martin Luther recentre Noël sur Christ.
Nous retiendrons Gelobet seist du, Jesu Christ (Loué sois-tu, Jésus-Christ), un choral de Martin Luther écrit pour la fête de Noël en 1524.
Plusieurs œuvres de Johann Sebastian Bach portent aussi ce titre, en particulier :
Gelobet seist du, Jesu Christ (BWV 91), une cantate religieuse composée en 1724 ;
Gelobet seist du, Jesu Christ (BWV 604), un choral pour orgue de l'Orgelbüchlein.
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Source : Un chaleureux et reconnaissant remerciement aux contributeurs divers qui ont permis de compléter cette histoire ( Le Pasteur Guilhem Jaussaud et amis des Librairies Jean Calvin, le Pasteur Eric Kayayan, le Pasteur Marc Hauser ainsi que le Pasteur José Loncke)
Mon coeur a espéré en Lui, et j'ai été secouru.
Aussi Le louerai-je de tout mon coeur.
(Psaumes 28:7)
C'était la veille de Noël.
Un froid rigoureux régnait sur la ville enneigée, dont les toits scintillaient légèrement sous le ciel brillant de mille étoiles.
La plupart des familles prenaient un joyeux repas, où les enfants chantaient autour du sapin de Noël, et, où les Chrétiens célébraient l'anniversaire de la naissance du Sauveur.
4 enfants et leur maman qui était veuve, se trouvaient réunis autour d'une table, au rez de chaussée d'une petite maison.
Mais sur la table, pas de victuailles, dans la pièce, pas de sapin décoré, au lieu des chants, le silence.
Et sur les visages, au lieu de la joie, pouvait se lire une profonde tristesse.
Pour ce Noël, il n'y avait rien à manger.
L'aîné des enfants prit soudain la parole :
Maman, demanda-t-il,ne m'as tu pas lu dans la Bible l'histoire du prophète Elie, auquel l'Eternel envoya un corbeau pour lui apporter du pain et de la viande ?
Oui dit elle,c'est là une bien belle histoire.
Et si je demandais aussi à Dieu de nous envoyer un corbeau ce soir, le ferait il ?
Oui, sans doute, si tu avais assez de foi, répondit en hésitant la maman, qui manquait en elle même de confiance.
L'enfant se leva aussitôt et se rendit dans sa chambre, se mit à genoux au pied de son lit, et pria :
« Seigneur, envoie nous ce soir un corbeau comme au prophète Elie, pour qu'il nous apporte de quoi manger. Je t'en prie Seigneur, amen. »
Puis il revint tout content, embrassa sa mère, et voyant les larmes qu'elle s'efforçait avec peine de retenir, l'encouragea à ne plus pleurer, et ouvrant toute grande la porte de la rue il se tint debout, les bras croisés et plein d'espoir pour attendre l'exaucement de sa prière.
Il était 10 heures du soir et la rue était solitaire...
Mais soudain, après un long moment, enfin, un bruit de pas se fit entendre, et un homme passa...
En voyant cette porte ouverte, et cet enfant debout sur le seuil, il s'arrêta, jeta un coup d'oeil dans la pièce où brûlait une toute petite lampe et demanda au jeune garçon ce qu'il faisait là, par un froid pareil, à cette heure.
J'attends, monsieur, le corbeau qui doit nous apporter du pain ce soir, fut la réponse.
Le corbeau ? Que veux tu dire ? Reprit le monsieur.
La mère, un peu embarrassée pour expliquer la chose, raconta ce qui venait de se passer : l'histoire du prophète Elie, la prière de son fils.
L'homme, très touché, jetant un coup d'oeil à son manteau s'exclama :
Vraiment, je suis habillé de noir comme un corbeau, c'est certainement moi que Dieu envoie !
Que faisait il dehors, à ce moment tardif, dans cette rue déserte, au lieu de se trouver avec les siens autour de la table du réveillon ?
Quelqu'un, qui connaît toute chose, l'y avait assurément conduit...
Prends ton panier, petit, et viens avec moi.
L'enfant, tout joyeux, fut bientôt prêt, et la main dans celle de son bienfaiteur, il s'engagea avec lui dans la rue silencieuse.
Il revint bientôt, avec son panier plein de pain et de viande et s'écria en rentrant triomphalement :
Tu vois, maman, que Dieu a exaucé ma prière !
Le Seigneur connaissait la détresse de cette famille, et Il avait voulut manifester Sa Grâce en répondant à la prière de la foi.
L'Eternel, Jésus, est près de tous ceux qui l'invoquent, de tous ceux qui l'invoquent avec vérité. C'est lui qui soutient l'orphelin et la veuve, dit la Bible.
Charles Spurgeon
" J'avoue que je donnerais à peine un penny pour tout salut que je pourrais perdre. La vie éternelle est la chose dont nous avons besoin, la Vie de Dieu, qui ne peut jamais changer ou être enlevée de nous, et c'est ce qui est donné à toutes celles et ceux qui croient en Jésus Christ."