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Luc 2.8-20
Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé. ( Luc 2.20 )
Noël. Non absent de la pensée de personne.
La ville, et même les campagnes ont mis partout les guirlandes lumineuses.
Radios, journaux, télévision cherchent d’ultimes clients pour vendre les cadeaux indispensables (croit-on) que nous ferons à Noël.
Tous les enfants y ont droit (dit-on aussi) de sorte que les ONG qui les secourent sollicitent de diverses manières des dons permettant de gâter ceux qui, sans notre argent, en seraient privés.
C’est bien beau, tout cela ; c’est gentil (Pourquoi pas ?), mais ne passe-t-on pas, le plus souvent, à côté de l’essentiel ?
La première responsabilité des parents est de transmettre aux enfants les commandements de Dieu.
Or, la fête de Noël, ‘créée’ pour rappeler la naissance d’un certain Jésus est de plus en plus totalement païenne.
Et, même dans bien des familles chrétiennes, on la fête sans un seul vrai rappel de sa signification profonde...
Pouvons-nous imaginer les bergers retrouvant les leurs : parents, épouse, enfants et taisant ce qu’ils avaient vu et entendu ?
Et si nous, nous avons vu et entendu… et vécu La Bonne Nouvelle extraordinaire de Noël, pouvons-nous la fêter sans y glorifier, sans louer Dieu … Et sans rien en dire à ceux qui en partagent les moments sur la raison vitale ?
pasteur Richard F. Doulière,
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source : Etudes & Echanges