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Vie Protestante Réformée

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Jean Calvin

"Puisque Dieu, par conséquent, nous justifie par la Médiation du Christ, Il nous Acquitte, non pas par l'aveu de notre innocence personnelle, mais par une imputation de la justice ; de sorte que nous, qui sommes injustes en nous-mêmes, sommes considérés comme Justes en Jésus Christ."

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13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 15:26
A la recherche de chaque personne

Refuge Protestant

Le Dieu Saint à la recherche de gens perdus
 

Il y a quelques années en Australie un petit avion s'écrase en pleine brousse après avoir lancé un signal de détresse.

 

Le pilote est tué sur le coup, mais son jeune passager survit. Le temps qu'on localise l'épave, le garçon a disparu.

 

Craignant que son enfant ne soit pris de panique, le père fait larguer des milliers d'imprimés sur la région.

 

L'imprimé porte le message suivant : « Dirky, n'aie pas peur ! Je te cherche ! Je te retrouverai ! Je t'aime ! - Papa ».

 

Dirky tombe sur l'un des imprimés, et ce message rassurant l'aide à tenir le coup.

 

Dieu a, lui aussi, envoyé un message à ses enfants égarés, en la personne de son Fils (Jean 3.16 et Luc 19.10).

 

 

Comment Dieu peut-il continuer à aimer des gens mauvais ?

L'apôtre Paul explique qu'il nous est impossible de donner une réponse exhaustive à cette question (Ephésiens 3.19).

 

Mais il ajoute que malgré notre incapacité à comprendre complètement l'amour de Dieu, nous pouvons quand même savoir qu'il nous aime, car il nous l'a montré en Jésus Christ (voir 1 Jean 4.9).

 

Même l'amour dont s'aiment les êtres humains est souvent un mystère.

 

N'est-il pas surprenant de voir une femme continuer d'aimer un mari qui la maltraite depuis le premier jour de leur mariage ? Vous avez peut-être conseillé à cette femme de quitter cet homme. Elle sait que vous pensez à son bien, mais vous adresse un sourire et vous dit quelque chose au sujet d'un amour éternel.

 

Ne sommes-nous pas étonnés de voir des parents pleurer de joie au retour d'un enfant dont le comportement leur avait brisé le coeur ? Comment pouvons-nous l'expliquer ?

 

Comment parfois pouvons-nous comprendre que des enfants terriblement maltraités aiment quand même leurs parents, au point de leur chercher toutes sortes d'excuses ?

 

Puisque les hommes et femmes pécheurs sont capables d'aimer au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer, devrions-nous être surpris de l'amour inexplicable de Dieu ? La parabole du fils prodigue (Luc 15) est une bonne image de cet amour de Dieu.

 

 

Comment Dieu peut-il nous aimer et en même temps punir le péché ?

Les parents humains font la même chose quand ils disciplinent leurs enfants tout en les aimant.

 

Qui aime bien châtie bien (Apocalypse 3.19). Plus la faute est grave, plus elle est prise au sérieux. N'est-ce pas judicieux ? Ça l'est pour Dieu, qui nous dit qu'au jour du Jugement dernier, certains seront traités avec moins de rigueur que d'autres (Matthieu 11.22,24).

 

Si Dieu a envoyé un déluge pour détruire la quasi-totalité de l'humanité (Genèse 6.9), c'est parce que la terre s'était remplie de méchanceté.

 

Les hommes avaient besoin d'autre chose qu'une légère réprimande. Ils mangeaient, buvaient, respiraient, rêvaient le mal (Genèse 6.5, 11). Il fallait donc un remède radical. Dieu seul voit le péché tel qu'il est vraiment ; et Il fera ce qu'Il faudra pour en venir à bout !

 

Dieu punit le péché parce qu'il en mesure la gravité. Une société qui se veut juste doit prendre le crime au sérieux.

 

Nous devrions vouloir que Dieu prenne le mal au sérieux. Si Dieu ne prenait pas le mal au sérieux, pourrions-nous l'estimer ? Que penserions-nous d'un Dieu qui fermerait les yeux sur le viol de petits garçons et de petites filles ?

 

Pourrions-nous louer un Dieu qui sourirait avec indulgence quand des voyous tabassent à mort un vieil homme, histoire de rigoler ?

 

Quel sentiment éprouverions-nous envers un Dieu qui prendrait plaisir au fait que des enfants sont recrutés dans la pornographie et la prostitution ?

 

Qui ne mépriserait un Dieu qui s'amuserait à voir des tyrans opprimer les pauvres et les réduire en esclavage ?

 

Ne souhaitons-nous pas que quelqu'un s'occupe des caïds de la drogue qui amassent des fortunes sur le dos de millions de malheureux (les intoxiqués et leurs familles) ?

 

Comment pourrions-nous adorer un Dieu qui serait indifférent à toutes ces choses ? Un tel Dieu pourrait être craint, mais il ne mériterait pas notre adoration !

 

Le péché est une insulte contre Dieu ; c'est pourquoi Dieu juge le péché avec sévérité. Qu'y a-t-il de surprenant à cela ?

 

Le mal lui inspire la répulsion et constitue un affront à sa personne (1 Jean 4.8 ; Psaume 29.2). La nature fondamentale du péché, c'est d'être une offense contre Dieu (voir Psaume 51.4).

 

Une autre raison pour laquelle Dieu réagit à l'encontre du péché, c'est qu'il aime ceux qui en sont les victimes.

 

Dieu redressera un jour tous les torts commis contre les opprimés et les gens sans défense (Genèse 18.25).

 

Quand nous devons jeter en prison une brute criminelle afin de protéger ceux qui subissent sa cruauté, nous ne ressentons pas forcément à son encontre une haine personnelle. Les nations alliées contre Hitler n'avaient pas besoin de haïr Hitler personnellement pour savoir qu'il fallait l'empêcher d'exterminer des peuples tout entiers.

 

Sommes-nous donc obligés de voir en Dieu un vengeur fou de haine lorsque, par amour pour les victimes d'une oppression et pour le bien des générations à venir, il écrase des oppresseurs ?

 

Ayons, à l'égard de Dieu, des pensées nobles

 

 

La Bible raconte une histoire

L'histoire sainte raconte comment Dieu nous a poursuivis de son amour !

 

Elle expose maintes et maintes fois le mal sordide qui habite l'homme, mais montre en même temps comment Dieu part à sa recherche.

 

Il promet à Adam et Eve déchus qu'un Rédempteur viendra un jour (Genèse 3.15). Il choisit Noé et sa famille en vue de bénir les générations à venir (Genèse 6.8 ; 7.1) et les sauve du déluge. Il établit l'arc-en-ciel comme un signe perpétuel du péché de l'homme et de son propre amour pour le genre humain (Genèse 9.1-2).

 

Par pure grâce, il décide de donner un enfant à un vieil homme et sa femme stérile ; toutes les familles de la terre doivent être bénies en cet enfant (Genèse 12.1-2). Plus tard, au Mont Sinaï, les descendants d'Abraham deviennent une nation (Exode 19.5-6) après avoir été libérés de l'esclavage en Egypte (Exode 1-12). Abraham et le peuple d'lsraël sont devenus des signes de ce que Dieu projetait pour le monde entier.

 

Israël avait été réduit en esclavage par le pharaon ; sa libération annonce la libération de l'humanité devenue esclave du péché et de Satan.

 

Les Israélites dressent, selon les instructions de Moïse, le tabernacle comme un lieu d'adoration ; ainsi, Dieu leur apprend qu'il veut vivre au milieu d'eux en dépit de leur péché.

 

Les sacrifices démontrent que la vie avec Dieu n'est possible que si l'on prend au sérieux la gravité du péché.

 

C'est Dieu lui-même qui fournit les animaux, montrant ainsi qu'il fournit ce qui est nécessaire pour avoir part à sa vie (Lévitique 17.11).

 

L'intérieur de la tente comporte une pièce plus sacrée et qui représente la demeure de Dieu, dont l'accès reste interdit au peuple. L'impossibilité d'accéder au lieu saint, ainsi que les innombrables sacrifices, sont porteurs du message suivant : il faut attendre la venue du Christ pour avoir une relation pleinement intime avec Dieu (voir Hébreux 9.7-8 et 10.19-20).

 

Le tabernacle déclarait qu'un jour Dieu viendrait habiter parmi tous les hommes dans la personne de son Fils. Les sacrifices d'animaux proclamaient le sacrifice ultime offert pour le pardon des impies, le don de la vie pour ceux qui ont mérité la mort. (voir Jean 1.14 ; 1 Jean 2.2 et Romains 3.23-26).

 

La nation d'lsraël par son histoire Biblique devait être pour le monde un signe de l'amour de Dieu envers tous les hommes (et pas seulement envers les Israélites). Tout comme l'arc-en-ciel, elle signifiait que Dieu nous aime et cherche à se lier avec les pécheurs que nous sommes !

 

Jésus Christ
 
" Il vient "
 
 

Un auteur a résumé le message de la première Alliance par ces mots : « Quelqu'un vient ! »

 

Cela peut paraître trop simple, et pourtant le fil conducteur qui traverse l'ensemble des écrits de la première Alliance, c'est l'attente de « celui qui vient ».

 

Dans les Ecritures juives de la Première Alliance, il existe plus de quatre cents textes qui annoncent ce que sera et ce que fera le Messie.

 

 

Qui donc devait venir ?

La Première Alliance, mal traduit occidentalement par L'Ancien Testament (Dieu ne revient pas sur ses promesses, et n'est pas homme pour mentir, ce que Jésus confirme en affirmant qu'Il n'est pas venu pour abolir la loi, mais pour l'accomplir), celle ci présente celui qui doit venir à la fois comme Dieu et Homme.

 

Genèse 3.15 l'appelle «la descendance de la femme » et le décrit donc comme un être humain. Esaie 7.14 annonce qu'il doit naître d'une vierge et qu'il doit s'appeler « Emmanuel » (Dieu avec nous). Esaïe 9.5-6 prédit qu'il descendra du roi David, mais aussi qu'on l'appellera « Dieu fort ». Michée 5.1 nous annonce qu'il sortira de la terre de Judée, mais que ses origines remontent à l'éternité.

 

Dans l'histoire du monde, un seul homme s'est sérieusement déclaré à la fois humain et divin : Jésus Christ, fils de David et Fils de Dieu. Dieu était « en lui pour réconcilier le monde avec lui-même » (2 Corinthiens 5.19).

 

 

 

Pourquoi est-il venu ?

 

Jésus Christ est venu pour nous rappeler que Dieu est « avec » nous.

 

Le prophète Esaïe avait annoncé que l'enfant promis serait « Emmanuel » (voir Matthieu 1.23), ce qui signifie en hébreu « Dieu avec nous ».

 

Dieu a accepté de partager nos peines et nos luttes. Dieu ne reste pas « là-haut » à donner des ordres.

 

Son amour pour nous l'amène à être solidaire de notre détresse. Lorsque Jésus se laisse brutaliser, insulter et maltraiter, c'est Dieu qui s'expose aux coups pour nous. Voilà à quel point Dieu veut vivre avec nous (voir Jean 1.1-14 ; Colossiens 2.9) !

 

Jésus Christ est venu pour mettre en évidence l'amour de Dieu dans toute sa splendeur. Dieu n'a pas attendu la venue du Christ pour nous aimer. Mais en Jésus, Dieu nous offre la plus belle expression de son amour (1 Jean 4.9).

 

Jésus Christ est venu pour mettre en évidence la laideur de notre péché.

 

Jésus a fait cela de deux façons : d'abord il a vécu avec tant de courage et de désintéressement que sa propre vie en rayonnait.

 

Comparée à la sienne, notre vie paraît dépourvue d'amour et de noblesse. Et le Christ nous affirme que c'est le péché qui fait cela.

 

En second lieu, Jésus a mis en évidence la gravité du péché en se laissant crucifier.

 

Sur la croix, le péché s'attaquait à Dieu lui-même ! Sur la croix, le péché s acharnait aussi sur l'Homme !

 

Par cela, le Christ veut nous faire comprendre que le péché est mauvais au-delà de tout ce qu'on peut imaginer et qu'il faut le détruire pour que l'homme et Dieu puissent se retrouver.

 

Jésus Christ est venu pour être le Représentant de l'humanité.

 

Jésus ne représente pas seulement un petit groupe d'élus.

 

Il est venu au nom de tous les hommes. Il est devenu homme afin de pouvoir confesser le péché de l'humanité tout entière.

 

En lui les hommes trouvent un Homme qui peut vraiment comprendre comment Dieu voit le péché.

 

En lui les hommes trouvent un Homme qui peut leur servir d'intermédiaire, un Homme qui peut s'approcher de Dieu en leur faveur (1 Timothée 2.4-5).

 

Jésus Christ est venu pour mourir et porter les pêchés des hommes.

 

Dans la société des hommes, la justice est assurée par des lois ; mais on méprise la loi et on la rend inutile quand on laisse le crime impuni.

 

Comment Dieu arrive-t-il donc à acquitter les pécheurs sans pour autant mépriser sa sainte loi ? Comment Dieu peut-il exiger que nous respections sa loi si lui-même ne la respecte pas en amnistiant simplement les coupables ? C'est à cause de ce dilemme que le Christ est venu (Romains 3.24-26).

 

A la vue de la croix, comment peut-on s'imaginer que Dieu prend le péché à la légère ?

 

La mort du Christ démontre que le pardon des pécheurs n'est pas chose facile, même pour Dieu ! En effet, Dieu a tant de respect pour sa loi qu'il refuse d'accorder un pardon facile ou « à bon marché ». En même temps, Dieu aime les pécheurs et accepte de payer le prix nécessaire pour satisfaire sa loi et offrir un pardon juste à tous les hommes (1 Jean 1.9 et 1 Pierre 2.24).

 

Jésus Christ est venu pour nous appeler à une vie de confiance et de sainteté. Le seul homme qui voit le péché dans toute son horreur est Jésus.

 

Or, celui qui s'attache au Christ crucifié voit progressivement le péché de la même façon ; cela fait partie de ce que l'Ecriture appelle « la repentance ».

 

Voilà pourquoi un disciple de Jésus ne peut pas se complaire dans un comportement de pécheur, ni prendre le péché à la légère.

 

Certains se font une conception curieuse de la mort du Christ. Ils s'imaginent que Dieu a enfreint sa loi morale qui nous condamnait à juste titre ; ou ils pensent que Dieu a contourné sa loi afin de pouvoir nous pardonner.

 

Or, c'est tout le contraire qui est vrai. C'est parce que Dieu refusait d'annuler ou d'affaiblir les exigences de sa sainte loi que le Christ devait mourir. Sa crucifixion ne signifie donc pas que Dieu a méprisé sa loi, mais nous rappelle que Dieu respecte et défend la dignité de sa loi.

 

Jésus Christ est venu nous apporter l'espérance. Si nous fondons notre espérance sur notre état de santé, que ferons-nous quand nous tomberons gravement malades ?

 

Si notre espoir repose sur nos facultés intellectuelles, que deviendrons-nous quand la vieillesse viendra diminuer ces facultés ?

 

Si nous comptons sur la réussite financière, que deviendrons-nous face à la faillite ?

 

Si notre espérance dépend de nos enfants, vers qui nous tournerons-nous si nos enfants se détournent de nous ?

 

Si nous mettons notre espoir dans les progrès de la société, que ressentirons-nous face à une oppression ou une criminalité qui empirent?

 

 

 

Mais il y a une bonne nouvelle ! 

 

 

le Christ a affronté et vaincu tout ce que l'homme redoute.

 

Il a affronté le péché et en a triomphé.

 

Il a affronté la souffrance et l'a soumise au dessein de Dieu. Il a affronté la mort et l'a détruite.

 

Quelque part en Angleterre, une pierre tombale porte l'inscription suivante : « parti avec un Ami ! ».

 

L'espérance du chrétien repose solidement sur le Dieu qui ne ment pas (Tite 1.1-3) et sur son Fils.

 

Ni le changement, ni la détérioration, ni les menaces, ni les craintes n'ont d'emprise sur cette espérance (voir 1 Timothée 1.1 et 4.10).

 

Pour beaucoup, l'espérance est surtout minée par la présence si flagrante du péché dans leur vie.

 

Ils ont tout fait pour lutter contre le péché, mais ont perdu tout espoir de le vaincre.

 

Le Christ vient et nous promet que si nous nous remettons entre ses mains, il nous donnera la victoire non seulement sur la sentence de condamnation que mérite notre péché, mais en outre sur le pouvoir du péché dans notre vie.

 

Lisez les mots qui suivent et laissez-les allumer un espoir en vous : Que le Dieu qui donne la paix fasse que vous soyez complètement à lui ; qu'il garde votre être entier, l'esprit, l'âme et le corps, sans tache pour le jour où viendra notre Sauveur Jésus Christ. Celui qui vous appelle accomplira cela, car il est fidèle (1 Thessaloniciens 5.23-24).

 

Nous soulignons la dernière phrase parce que la fidélité de Dieu est le fondement de l'espérance du chrétien.

 

Puisque son Dieu est fidèle, le croyant est confiant de la victoire sur le péché !

 

Rappelons-nous que cette victoire est remportée non seulement sur le châtiment auquel nous condamne le péché, mais aussi sur son pouvoir dans notre vie.

 

Quelle joie de savoir que Jésus est venu !

 

 

Se tourner vers Dieu, changer la direction de notre vie : Comment ? Pour aller vers quoi ?

 

Le gouffre qui nous sépare de Dieu ne vient pas de Lui
 
 

Dieu a créé les hommes par amour (Psaume 136.5-9).

 

Il n'a créé aucun homme, aucune femme, dans le but de les torturer ni dans ce monde ni dans l'autre.

 

L'état lamentable dans lequel se trouve le monde est l'oeuvre des hommes, et non celle de Dieu !

 

Nous avons voulu nous soustraire à la volonté de Dieu, nous avons trahi sa confiance, mais lui n'a pas renoncé à nous aider.

 

A travers les siècles, il nous a poursuivis de son amour, nous a enseignés, suppliés, cherchés, à travers des gens tels que Noé, Abraham et l'ancienne nation d'lsraël.

 

Finalement, Dieu est venu sur la planète Terre et s'est fait connaître dans la personne de Jésus de Nazareth. La vie qu'il a vécue, la mort qu'il a soufferte pour nous tous, parlent des sentiments de Dieu à notre égard.

 

 

 

En nous tournant vers Dieu, vers quoi nous tournons-nous ?

 

Nous nous tournons, avant tout, vers une personne.

 

Dieu n'est pas une force, une puissance impersonnelle.

 

Il est une personne. Quelqu'un qui peut combler notre besoin d'affection et d'amitié.

 

La « Nature » est incapable de remplir le vide de notre coeur.

 

Une « Force » ne peut nous tirer de la solitude, ne peut satisfaire nos aspirations.

 

Il vient un moment dans notre vie où nous aspirons à autre chose qu'au confort ou à la réussite, où nous cherchons un Ami en qui nous pouvons nous confier.

 

Cet Ami que nous cherchons est Dieu (voir Jean 17.3 et Genèse 2.18).

 

Nous nous tournons vers le pardon. Le pardon est un don, un cadeau fait à une autre personne.

 

Dieu offre le cadeau du pardon aux pécheurs que nous sommes.

 

Il offre ce cadeau en permanence (1 Jean 1.9). Il offre le pardon à travers le Christ, lorsque nous nous unissons au Fils en qui seul se trouve le pardon (Ephésiens 1.7).

 

Nous nous tournons vers la vie.

 

Jésus est venu pour nous convaincre non seulement de nos péchés, mais aussi de nos possibilités.

 

Il désire nous montrer un but à atteindre. Jésus met l'accent non pas sur ce que nous avons été ou ce que nous sommes, mais sur ce que nous pouvons devenir avec son aide.

 

Le Christ n'insiste pas autant sur les renoncements à consentir que sur les bienfaits que nous recevrons.

 

Abraham quitta ses proches pour devenir le père de millions d'hommes et de femmes (Genèse 12.1).

 

Moïse renonça aux richesses de l'Egypte et devint un grand libérateur (Hébreux il .26).

 

Saul de Tarse devint l'ambassadeur du Christ (Philippiens 3.4-7).

 

Dieu n'a pas l'intention de nous léser ; il veut, au contraire, nous donner la vie dans sa plénitude (Jean 10.10).

 

Tous les événements de la vie, même les souffrances et les échecs, prennent un sens et sont pétris de la gloire de Dieu, car il a lui-même vécu les mêmes choses (Esaïe 43.1-3 ; Matthieu 1.23).

 

Lorsqu'un homme se tourne vers Dieu, il se tourne vers l'espoir au milieu de l'adversité ; vers la paix au milieu du tumulte ; vers la joie au milieu de la peine ; vers un sentiment profond de vocation au milieu d'un monde sinistre rempli d'êtres qui gaspillent leur précieuse existence en frivolités.

 

 

Comment les hommes et les femmes après la venue du Messie promis se tournaient-ils vers Dieu ?

 

  1. Ils se tournaient vers Dieu en reconnaissant qu'ils étaient des pécheurs.
  2. Ils se tournaient vers Dieu en reconnaissant qu'ils ne pouvaient se sauver eux-mêmes.
  3. Ils se tournaient vers Dieu en prenant Foi en son oeuvre.
  4. Ils se faisaient baptiser.

Alors le gardien demanda de la lumière, se précipita dans la cellule et, tout tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas. Puis, il les fit sortir et leur demanda :

« Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? » Ils répondirent : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta famille. » Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, à lui et à tous ceux qui étaient dans sa maison. Le gardien les prit avec lui à cette même heure de la nuit et lava leurs blessures. Il fut aussitôt baptisé, ainsi que tous les siens. (Actes 16.29-33).

Jean 3.16; Galates 3.26,27 ; Actes 10.43 ; Matthieu 28.19 ; Actes 17.30-31 ; Romains 6.3-7 ; Romains 10.9-10 ; Tite 3.5 et Ephésiens 2.8-9.

 

Pourquoi, dans la Nouvelle Alliance, Dieu parle t il du baptême  ?

C'est parce que le baptême est l'acte par lequel le pécheur confirme sa Foi et le baptême signifiant symboliquement qu'il est passé de la mort à la vie, sa vie passée étant par le baptême devenue vie nouvelle en Jésus Christ.

 

Ceux qui se savaient condamnés par leur péché se tournaient vers Dieu en faisant appel à la croix de Jésus Christ et à sa résurrection d'entre les morts.

 

 

Cet appel au Christ crucifié et ressuscité se faisait par un ensevelissement et une résurrection avec le Christ (Romains 6.3-4 et Colossiens 2.12 ; Romains 10.9-10). Voilà de quelle façon, dans l'alliance Renouvelée, hommes et femmes en se tournant vers Dieu confirmaient la foi, la repentance et le pardon des péchés en se faisant baptiser. .

 

Il n'y a sous le ciel qu'un seul nom qui puisse sauver (Actes 4.12) ; par la foi, hommes et femmes embrassaient ce nom (c'est-à-dire la personne de Jésus) suivant ensuite son commandement en se faisant baptiser en son nom.

 

 

 

 

 

 

Source :  I-E EDCE

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Charles Spurgeon

" J'avoue que je donnerais à peine un penny pour tout salut que je pourrais perdre. La vie éternelle est la chose dont nous avons besoin, la Vie de Dieu, qui ne peut jamais changer ou être enlevée de nous, et c'est ce qui est donné à toutes celles et ceux qui croient en Jésus Christ."

Car, lorsque que nous étions
encore sans force,
Christ, au temps marqué,
est mort pour des impies
 (Romains 5-6)

Croix Huguenote

  Une femme oublie-t-elle

l'enfant qu'elle allaite ?

... Quand elle l'oublierait,

Moi je ne t'oublierai point.

Voici, je t'ai gravée sur mes mains

Esaïe 49.16

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