Bach Jean Sébastien :

Devant ton trône me voici, mon Dieu, je suis à ta merci. Tourne ta face avec douceur vers moi qui ne suis que pécheur.

Barbier Henri :

Honorer ses aïeux, c’est offrir à leur vie un prolongement dans la sienne propre.

Barth Karl :

Pour l’homme, les dix commandements sont la frontière entre la vie et la mort. (Théologien Protestant)

Bas Maurice :

Rechercher d’abord et surtout l’approbation de Dieu.

Benda Julien :

Nous ne demandons pas au chrétien de ne point violer la loi chrétienne; nous lui demandons, s'il la viole, de savoir qu'il la viole.

Benoit Daniel :

La croix reste debout pour le salut du monde !

Oui, le mal c’est le mal, le crime c’est le crime ! On ne l’excuse pas, on le hait : voilà tout.

Bertrand André :

Je ne suis bon à rien, je ne peux rien, je ne sers à rien, voilà les pensées dont on hésite à dire si elles sont la conséquence ou la forme la plus amère de la lassitude.

Bersier Eugène :

Nous demandons la liberté de ne jamais séparer dans nos cœurs ni dans nos œuvres la foi religieuse et l’attachement à notre patrie.

Bible (La) :

Instruit l’enfant dans la voie qu’il doit suivre et lorsqu’il sera vieux, il ne s’en détournera pas.

Bieler Charles :

Nous influons par ce que nous sommes plus encore que par ce que nous disons. Précepte vaut moins qu’exemple.

La Bible est Le Livre de la Joie ! Qu’on ne l’oublie pas.

Bierce Ambrose :

Chrétien de façade :

Personne qui croit que la Bible est un livre d'inspiration divine admirablement adapté aux besoins spirituels de son voisin. Personne qui suit les enseignements du Christ tant qu'ils ne sont pas incompatibles avec une vie de péché.

Boegner André :

Tout acte d’obéissance se traduit par une bénédiction de Dieu.

Boniface François :

Doutez de vos doutes et critiquez votre critique.

Boot William :

Travaillez comme si toutes choses dépendaient de votre travail, et priez comme si toutes choses dépendaient de vos prières.

Bossuet :

Tout est vain en nous, excepté le sincère aveu que nous faisons devant Dieu de nos vanités.

Bouchor Maurice :

Devant Dieu que le pouvoir est frêle.

Ne choisis pas la mort quand je t’offre la vie : sinon je ferais choir sur ta nuque asservie un joug plus écrasant que celui d’autrefois.

Bouchra Maurice :

Ouvrez votre maison à l’homme sans asile. Soyez heureux de partager ; ne maltraitez pas l’étranger qui, rongé de chagrin, sur vos terres s’exile…

Bouet Félix :

Ne vous laissez pas abattre, et si vous vous êtes laissé abattre, criez à Dieu de vous tendre la main pour vous relever.

Bourdalan Louis :

Aimons la vérité qui nous reprend, et défions nous de celle qui nous flatte.

Brousson Claude :

Puisque les magistrats sont établis pour administrer la justice, il n’y a rien qui puisse les excuser s’ils deviennent les ministres de l’injustice et de l’oppression.

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