1° Une confiance pleine et entière dans les mérites et dans la médiation du Seigneur Jésus-Christ, comme seul terrain sur lequel nous puissions réclamer quelque bénédiction.
Voyons :
Jean 14.13 : Et quoi que ce soit que vous demandiez en mon nom, je le réaliserai pour que la gloire du Père soit manifestée par le Fils.
Jean 15.16 : Ce n’est pas vous qui m’avez choisi. Non, c’est moi qui vous ai choisis ; je vous ai donné mission d’aller, de porter du fruit, du fruit qui soit durable. Alors le Père vous accordera tout ce que vous lui demanderez en mon nom.
2° Renoncer à tout péché connu ; si nous retenons quelque iniquité dans notre cœur, le Seigneur ne nous écoutera pas, car l’exaucement serait un cautionnement du péché :
Psaume 66.18 : Si j’avais gardé dans mon cœur des intentions coupables, Dieu ne m’aurait pas écouté.
3° Une foi sans réserve en la parole de Dieu, parole de la promesse, que Dieu a confirmée avec serment. Or, ne pas croire ce qu’Il dit, c’est le faire menteur et parjure :
Hébreux 11.6 : Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent.
Voyons également Hébreux 6.13-20
4° Ne lui demander que ce qui est selon sa volonté. Nos motifs doivent être purs ; nous ne devons rechercher aucun don de Dieu pour satisfaire nos convoitises :
1 Jean 5.14 : Et voici quelle assurance nous avons devant Dieu : si nous demandons quelque chose qui est conforme à sa volonté, il nous écoute.
Jacques 4.2-3 : Vous convoitez beaucoup de choses, mais vos désirs restent insatisfaits. Vous êtes meurtriers, vous vous consumez en jalousie, et vous ne pouvez rien obtenir. Vous bataillez et vous vous disputez. Vous n’avez pas ce que vous désirez parce que vous ne demandez pas à Dieu. Ou bien, quand vous demandez, vous ne recevez pas, car vous demandez avec de mauvais motifs : vous voulez que l’objet de vos demandes serve à votre propre plaisir.
5° Qu’il y ait de l’insistance dans la supplication. Il faut savoir s’attendre à Dieu, et savoir l’attendre patiemment. Tel le laboureur qui attend avec patience le précieux fruit de la terre :
Jacques 5.7 : …Pensez au cultivateur : il attend les précieuses récoltes de sa terre. Il prend patience à leur égard, jusqu’à ce que tombent les pluies de l’automne et du printemps.
Voir aussi l’exemple de la veuve importune qui persévéra malgré l’opposition, Luc 18.1-8
Amen,
Pasteur Georges Muller,
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