Que nos maisons deviennent des phares spirituels,
propres à guider les nacelles vers le Port tranquille,
Quand même, elles seraient des chaumières,
elles sont appelées à faire briller une lumière.
Il faut qu'on sache qu'on trouvera à nos foyers
la consolation, la paix, la joie,
les baumes qui guérissent.
Que j’aime ta Parole ! Tout le jour elle est mon épanchement.
(Psaume 119-97)
Non pas à nous, Eternel, non pas à nous, mais à ton nom donne gloire, pour ton chérissement et ta vérité ! (Psaume 115.1)
Grâces soient rendues à Dieu (...)qui en Christ, répand (...) en tout lieu l'odeur de sa connaissance ! Nous sommes, en effet, pour Dieu le parfum de Christ, (...) Une odeur de vie, donnant la vie. (...), avec sincérité, de la part de Dieu, parlant en Christ devant Dieu.
(2 Corinthiens 2. 14-16)
Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu'ils voient (...) et glorifient votre Père qui est dans les Cieux.
(Matthieu 5-16)
Soyons les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien aimés, marchons dans l'amour à l'exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s'est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur.
(Ephésiens 5.2)
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Bien que je ne possède ni savoir-faire ni dignité suffisants pour parler, ce qui m’en donne la hardiesse, c’est que je saisis LE LIVRE dans ma main et qu’au nom de Dieu, je dis à mon prochain : C’est écrit là ! (Martin Luther)
Un Chrétien, très peiné par le peu d’écho de son témoignage, était assis dans le compartiment d’un train, qui venait d’entrer en gare.
Soudain, il fut sorti de ses réflexions.
Sur le quai, des garçons avec des plateaux pleins de petits pains couraient le long du train.
Ils harcelaient les voyageurs, pour qu’ils achètent les petits pains, mais seulement très peu d’entre eux le faisaient.
Lorsque le train se remit en mouvement, les garçons durent se retirer avec leurs plateaux pleins ; cependant, l’un d’entre eux se hissa sur le marchepied du train en partance.
Et en un rien de temps, il fut déjà dans le compartiment. Il s’assit sur un siège et prit un de ses petits pains, le partagea et commença à manger.
L’homme à côté de lui leva les yeux de son journal, car du petit pain chaud émietté, sortait un parfum délicieux.
Il ne fallut pas longtemps, pour que l’homme acheta un petit pain, et commença à manger.
L’odeur se répandit dans le compartiment.
Un voyageur après l’autre appela le vendeur vers lui, et s’acheta un petit pain.
Lorsque le garçon descendit du train à la station suivante, son plateau était vide !
Source : Bibletude