Labstein Frédéric :
C’est quand notre cœur nous condamne, quand les hommes nous abandonnent, quand nos échafaudages s’écroulent, que nous sentons que la foi est une puissance.
Larcher Pierre :
C’est une chose très douce que de s’endormir dans les bras du Dieu que l’on a servi.
Lavater Jean Gaspard :
Celui qui sait combien on peut faire de bien en une journée sentira combien un jour gaspillé est une perte irréparable.
Lemaître Auguste :
Dieu reste mon secours et mon espoir.
Ne laisse jamais périr en toi ce qui fait de toi un vivant, le désir de nouveaux progrès, la soif de mieux réfléchir en toi l’image de ton Sauveur.
Nous méprisons trop souvent les heures que Dieu nous donne.
Nous avons appris à situer la vraie grandeur dans la fidélité à l’idéal de Jésus, plutôt que dans les gloires éphémères du monde.
Plus près de Jésus pour mieux servir.
Ainsi est faite notre âme tourmentée que le paradis lui semble toujours être ailleurs : là où il n’est pas.
Le but de Dieu n’est pas de nous servir tout d’abord, mais bien en premier lieu, de nous apprendre à le servir Lui.
Il serait bon de retrouver le langage de l’Evangile dans son éloquente simplicité, de l’entendre et de le vivre.
Vingt siècles ne nous ont pas encore suffi pour apprendre à raisonner comme Jésus et à voir la vraie grandeur où Lui l’a vue.
Luther Martin :
Celui qui éprouve une véritable repentance ne cherche ni indulgence, ni rémission de ses peines ; au contraire, il veut les prendre sur lui ; il cherche la croix.
Dieu est tellement la bonté même, que tout ce qui part de son initiative ne peut procurer qu’une joie intense. Il n’accable pas, Il réconforte.
Il faut enseigner aux chrétiens que les indulgences sont des plus funestes si, par elles, ils perdent la crainte de Dieu.
Voici en quoi consiste la vie chrétienne : vouloir en toutes choses ce que Dieu veut, vouloir sa gloire, et ne rien désirer pour soi-même, ni ici-bas, ni dans l'au-delà.
Dieu s’empare du cœur, et le cœur pris, tout est pris.
Si Tu n’es qu’un lumignon, ne t’éteins pas toi-même.
Lui que le monde ne pouvait contenir, repose ici sur les genoux de Marie.
J'ai tellement de choses à faire que je dois passer 3 heures dans la prière avant de commencer.
Les bonnes œuvres ne rendent pas l’homme bon, mais l’homme bon accomplit de bonnes œuvres.
Il faut que l’arbre existe avant les fruits.
La foi n’est pas pressée.
Dieu veut nous remplir les bras de ses biens. Si seulement les gens voulaient les lui demander, et lui faire confiance.
Une œuvre qui ne vient pas du cœur peut être aussi juste et aussi bonne que l’on veut, je n’en donnerai pas une queue de poire.
Quand les cœurs et les sentiments ne sont pas unanimes, laisse agir Dieu, je t’en supplie, car tu ne ferais rien de bon.
S’il est un tort qu’on puisse causer au diable et qui le fasse vraiment souffrir, il ne peut venir que de la jeunesse, et cela lorsqu’elle est élevée dans la connaissance de Dieu, répand la Parole de Dieu et instruit les autres.
Le chrétien porte, mais ne colporte pas les iniquités de ses frères.
Il est impossible que là où est la foi, on ne fasse le bien. L’homme qui a foi est plein d’entrain à faire du bien à tous.
J’ai beaucoup de travail aujourd’hui, il faut que je prie beaucoup.
Il ne sert à rien à un arbre de croître, de fleurir si, avec ses fleurs, il ne porte pas de fruits. Beaucoup, justement, périssent tout en fleurs.
L’homme qui a la foi est plein d’entrain à faire du bien à tous.
Vouloir séparer les œuvres de la foi, c’est vouloir séparer la lumière de la flamme.
Il vaut bien mieux que le Christ vienne à nous par l’Evangile. S’Il entrait maintenant par la porte, Il arriverait chez toi, et toi, tu ne le reconnaîtrais pas.
Luther King Martin :
Le moment est toujours juste pour faire ce qui est juste. ~ (22 octobre 1964 au Collège Oberlin)
Celui qui accepte le mal sans lutter contre lui, coopère avec lui.
Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons.
Tout ce que je veux, c’est faire la volonté de Dieu, celui qui me conduit vers le Pays promis.
Rien n'est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse.
La prédication devrait découler des expériences des gens. Par conséquent, en tant que ministère, je dois connaître les problèmes des gens à qui je m’adresse […] Trop souvent, les ministères instruits laissent les gens perdus dans le brouillard de l’abstraction théologique, plutôt que de présenter la théologie à la lumière des expériences des gens.