"Puisque Dieu, par conséquent, nous justifie par la Médiation du Christ, Il nous Acquitte, non pas par l'aveu de notre innocence personnelle, mais par une imputation de la justice ; de sorte que nous, qui sommes injustes en nous-mêmes, sommes considérés comme Justes en Jésus Christ."
Cela rend l'esprit blessé entier et calme la poitrine troublée ;
C'est la Manne de l'âme affamée, reposez-vous fatigués.
Cher Nom ! Le Rocher sur lequel je bâtis,
Mon bouclier et Mon Refuge ;
Mon Trésor sans faille, rempli de Grâces illimités !
Jésus, Mon Berger, Mon Frère, Mon Ami,
Mon Prophète, Mon Prêtre et Mon Roi,
Mon Seigneur, Ma Vie, Mon Chemin, Ma Fin,
Accepte les éloges que j'apporte.
Faible est l'effort de mon cœur,
Et froide ma pensée la plus chaleureuse,
Mais lorsque je Te verrais comme Tu es,
Je Te louerai comme je devrais.
Jusque là, je désire que Ton Amour
proclame à chaque respiration
Et que la musique de Ton Saint Nom
Rafraîchisse mon âme jusque dans la mort.
Quel est le double avantage que nous recevons dans le salut ? «Premièrement, étant réconcilié par la Justice du Christ, Dieu devient, au lieu d'un Juge, un Père Indulgent ; et, deuxièmement, étant sanctifiés par Son Esprit, nous aspirons à l'intégrité et à la pureté de la vie. »
Jean Calvin
(Jean Calvin)
Quelles que soient les bénédictions que nous attendons de Dieu, Son Infinie Libéralité dépassera toujours tous nos souhaits et nos pensées.
(Charles Spurgeon)
L'étoile de l'espoir est toujours dans le ciel quand la nuit est la plus noire. Le Seigneur ne nous oubliera pas ni ne nous livrera à l'ennemi. Nous traitons avec Celui dont la Miséricorde dure à jamais.
(R.C. Sproul)
Plus nous comprenons la Sainteté et la Justice de Dieu, plus nous constatons par contraste à quel point nous sommes désespérément tombés et combien nous sommes totalement dépendants de Sa Miséricorde et de Sa Grâce.
(John Owen)
Les croyants savent que leurs devoirs sont faibles, imparfaits et incapables de se conformer à la Présence de Dieu. Par conséquent, ils regardent Christ comme Celui qui porte l'iniquité de leurs choses saintes, ils regardent Christ comme Celui qui ajoute de l'encens à leurs prières et les rends acceptables à Dieu.
Ces citations appartiennent à des Pères de l'Eglise, pasteurs, conducteurs, anciens, écrivains profanes ou non…. Chacune d’entre elles est une petite leçon de sagesse, ramenant toujours à l’essentiel et au principal : La Bible et son Divin Auteur qui est Dieu.
- Dieu parle à sa manière, et même de façon très claire. Tout d'abord, il parle à travers son œuvre majeure, la Création de l'univers, qui n'est pas, qui ne saurait être le produit du chaos, du hasard incontrôlé, de millions de milliards de combinaisons hasardeuses qui n'ont aucun sens. Si l'univers n'avait pas de sens, à quoi cela servirait-il de lire, d'écouter certaines émissions à la radio ou de regarder certains programmes à la télévision, pourquoi chercherait-on à s'instruire ? Mais, la vérité, c'est que l'univers entier crie la puissance et la sagesse de celui qui l'a créé et le maintient à chaque instant. Dieu. (...) Dieu parle à notre conscience, par laquelle chacun de nous sait plus ou moins distinguer le bien du mal (...) Sans cette distinction, il faudrait abolir tout système judiciaire, toute police, toute forme d'altruisme. D'où nous vient cette distinction ? Du chaos originel, de la soupe primitive qui s'est subitement retrouvée douée de sens moral par l'effet d'une mutation génétique inattendue ? Allons donc ! (Eric Kayayan)
- Tous les hommes sont naturellement pleins de péchés. Et il n'y a pas de sauveurs de pécheurs, pas de voie de salut que par Christ. (Jonathan Edwards)
- Une personne est considérée juste par Dieu non pas sur la base de ce qu'elle fait, mais sur la base de ce que Christ a fait. L'acte de Dieu qui justifie le pécheur ne peut être annulée. C'est pour toujours. Il est reçu par la foi, par la grâce seule. Pas de médiateurs mais le Christ lui-même. (Augustus Nicodemus)
- Dieu ne peut pardonner à personne simplement en disant : "Je vais pardonner". Il ne peut pas. Il n'y avait qu'une seule manière par laquelle Dieu pouvait pardonner ; c'était en mettant nos péchés sur Son Fils et en les punissant en Lui. C'était un Saint Amour...un Juste Pardon. Dieu doit toujours être juste. (Martyn Lloyd-Jones)
- "Afin que le dessein de Dieu selon l'élection ne repose pas sur les œuvres, mais sur celui qui appelle". Il n'y a donc plus rien à dire. Le salut vient entièrement de Dieu. Les hommes et les femmes ne peuvent jamais se vanter du fait qu'ils se sont sauvés. C'est Dieu qui sauve. ( Martyn Lloyd-Jones)
- Lorsque je me regarde, je ne vois pas comment je peux être sauvé. Mais lorsque je regarde le Christ, je ne vois pas comment je peux être perdu. (Martin Luther)
- Christ est mort pour moi. Il a fait mienne sa justice et a fait sien mon péché. Et s'il a fait sien mon péché, alors je ne l'ai plus, et je suis libre. (Martin Luther)
- Nous sommes justes parce que Dieu nous a imputé la justice de Christ. (R.C. Sproul)
- Par Christ, nous avons été adoptés comme fils et filles du Très Haut. Il n'y a donc plus de condamnation mais déclaration de justice parfaite qui nous a été imputée à cause de la justice de Christ. ( William F. Hill, Jr. )
- Sur la croix, Christ a non seulement payé la peine que nous méritons, mais nous a également accordé la justice que nous ne méritons pas. (Dustin Benge)
- Ah Seigneur Jésus ! Je n'ai jamais connu ton amour jusqu'à ce que j'aie compris le sens de ta mort. (Charles Spurgeon)
- Un message pour l'incrédule - « c'est mon privilège de vous dire que si vous reconnaissez votre aveuglement et les ténèbres de votre mauvais cœur, votre péché et votre désespoir, et que vous vous jetez sur la miséricorde de Dieu, il vous recevra et vous dira qu'il "t'a aimé d'un amour éternel » (Jeremie 31:3). Et Il vous donnera une nouvelle vie, un nouvel espoir, la paix, la sécurité, la sûreté - et tout ce dont vous avez besoin dans cette vie et dans le monde à venir " ( Martyn Lloyd-Jones)
- La foi opère en recevant, mais en recevant seulement : l'homme s'efface, pour laisser tout le Salut à Dieu. Ne me dites pas que la foi sent, que la foi aime, que la foi obéit ; et que c'est par ce sentiment, par cet amour, par cette obéissance qu'elle vaut devant Dieu. Non, vous dis-je ; la foi ne fait que recevoir ; et c'est par cette simplicité du recevoir qu'elle vaut, parce que c'est par elle qu'elle laisse à Dieu toute la Gloire du faire. Le sentiment, l'amour, l'obéissance, ce n'est pas la foi, c'en sont les fruits, les œuvres ; et attribuer le Salut à ces fruits, à ces œuvres, c'est, après l'avoir rejetée dehors par le grand portail, ramener la justice propre par une porte dérobée. Ne me dites pas même que la foi est une condition du salut. Sans doute, cela peut se dire, si l'on ne veut exprimer par là que la nécessité de la foi pour être sauvé ; mais le mot de condition présente à l'esprit l'image d'une participation agissante méritoire ; et l'humble participation du recevoir ne saurait être qualifiée de condition sans abuser du langage. Vous vous rendriez ridicule si vous disiez : La vallée de Chamonix est admirable -- mais à condition qu'on la regarde ; ou le raisin est un fruit exquis -- mais à condition qu'on le prenne. Il ne faudra pas dire davantage : La grâce de Dieu nous sauve, mais à condition qu'on y croie ; mais il faudra dire avec l'Apôtre : « La grâce de Dieu nous sauve par la foi. ». Par la foi, précisément pour bien constater que l'homme n'y est pour rien, et que le salut est un don de Dieu, un pur don, tout gratuit ; ainsi l'explique l'Apôtre, reprenant sa pensée par le côté négatif, pour ne laisser à notre orgueil aucune issue par où lui échapper : « Cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu ; cela ne vient pas des oeuvres, afin que nul ne se glorifie. » C'est dans le même esprit que le même Apôtre écrit aux Romains une ligne qui résume à elle seule tout ce que nous pourrions dire là-dessus : « C'est par la foi -- afin que ce soit selon la grâce. » Pesez bien cette parole profonde. (...) La première voie ouverte à l'homme pour glorifier Dieu, l'obéissance parfaite, qui eût rendu hommage à la perfection de Sa Loi, t'est fermée, mais il t'en reste une seconde, la foi, qui rend hommage à la Gratuité de Sa Grâce. Cet hommage ne sera pas moins agréable à Dieu que n'eût été l'autre ; que dis-je ? Il le sera même davantage, car « Dieu est Amour, » et de toutes Ses Perfections, celle dont Il est le plus jaloux, c'est Son Amour Tout Gratuit, que l'homme innocent n'eût jamais connu, que l'ange saint n'a point éprouvé, et que l'homme pécheur, mais reçu en Grâce, a la tendre mission de sentir et de proclamer. (…) (Adolphe Monod)
- Celui qui vient à Dieu dans la bonne attitude, celui qui reconnaît son péché et prend pleinement conscience du fait qu'il se présente devant Dieu en tant qu'une personne indigne ne pouvant se fier qu'à Sa Miséricorde, recevra ce qu'il cherche. Si tu viens vraiment à Christ, afin de recevoir de Lui le pardon, tu verras alors qu'Il fait de toi un homme nouveau. Tu viens à Lui comme un patient vient chez un médecin, afin qu'Il guérisse ta maladie et tes blessures. Confesse Lui tout ce qui te pèse, ne retiens rien. Et ne pense pas pouvoir venir à Lui en raison de tes propres bonnes actions. Ne dis pas : "Jésus, pardonne moi, car je ne suis pas une mauvaise personne", mais confesse comme David : "Pour l'amour de ton nom, ô Éternel, pardonne mon péché qui est si grand". (Jonathan Edwards)
- Il appelle Jésus-Christ Fils de dilection, ou le Fils très cher du Père, parce que c'est lui seul en qui le Père a pris tout son bon plaisir, comme il est dit en Matthieu 17.5, et par lequel tous les autres sont aimés. Car il faut que nous tenions pour tout certain que nous ne sommes point agréables à Dieu autrement que par Christ. Et il ne faut point douter que Saint Paul ne veuille tacitement noter la séparation mortelle que les hommes ont d'avec Dieu, jusqu'à ce que la dilection apparaisse en la personne du Médiateur. (Jean Calvin Commentaire sur Colossiens 1.13, )
- "... et nous a transportés au royaume de son Fils bien-aimé". Ce sont déjà les commencements de notre béatitude, quand nous sommes transportés au royaume du Christ, d'autant que nous passons de la mort à la vie. Saint Paul attribue ceci aussi à la grâce de Dieu, afin que nul ne pense pouvoir obtenir un si grand bien par son propre effort. comme donc notre délivrance de la servitude du péché et de la mort est l'oeuvre de Dieu, ainsi autant en faut-il dire de ce que nous passons dans le royaume du Christ. (Jean Calvincommentaire sur Colossiens 2.13, )
- Je peux dire avec une confiance absolue que vous ne trouverez pas de meilleures nouvelles aujourd'hui que cela : à vous est né ce jour dans la ville de David un Sauveur, qui est le Christ Le Seigneur ! (Kevin De Young)
- Le MESSIE est "Emmanuel, Dieu avec nous", de notre côté, non plus le vengeur du péché, mais l'auteur du SALUT. (John Newton)
- Quelle grâce d’avoir la liberté d’invoquer Dieu ! Quelle sagesse que d’en faire bon usage ! C’est folie de recourir aux hommes, quand le Seigneur nous invite à lui présenter notre cas à Lui-même. (Charles Spurgeon)
- Ceux qui enseignent par leur doctrine doivent enseigner par leur vie, ou bien, ils tirent d'une main ce qu'ils construisent avec l'autre. (Matthew Henry)
- Je hais le péché non pas parce qu'il me damne, mais parce qu'il a fait du tort à Dieu. Avoir chagriné mon Dieu est pour moi le pire des chagrins. (Charles Spurgeon)
- Les Écritures ne nous sont pas données simplement comme une doctrine abstraite ; elles nous viennent comme la Parole divine de Dieu, conçue pour l'édification, la reproduction, la correction et l'instruction, afin que nous soyons pleinement équipés en tant qu'hommes et femmes de Dieu. (R.C. Sproul)
- Bien qu'Il ait tendu la main et semble menacer nos plus chers conforts, pourtant quand nous nous souvenons que c'est Sa Main, quand nous considérons que c'est Son Dessein, Son Amour, Sa Sagesse, Sa Puissance, nous ne pouvons pas refuser de Lui faire Confiance. (John Newton)
- Car la satisfaction d’être maître à bord est la pire peste qui puisse atteindre les hommes pour les perdre et les couler ; aussi l’unique havre de salut est-il de ne pas être sage à ses propres yeux, de ne rien attendre de soi, mais seulement de suivre le Seigneur. (Jean Calvin)
- Nous sommes entre les mains de Dieu... C'est lui qui ordonne nos vies et en dispose à son bon plaisir... Notre responsabilité est de nous abandonner à lui en toute humilité et obéissance... Qu'il est juste que nous lui appartenions entièrement dans la vie comme dans la mort" (Jean Calvin)
- L'ironie du légalisme, c'est qu'il ne nous donne pas envie de travailler plus dur, il nous donne envie d'abandonner (Burk Parsons)
- Souvenez-vous que la sainteté est une fleur, non une racine ; ce n'est pas la sanctification qui sauve, mais le salut qui sanctifie. Un homme n'est pas sauvé par sa sainteté, mais il devient saint parce qu'il est déjà sauvé. (Charles Spurgeon)
- Une profession de foi ne justifie personne. C'est la possession de la foi qui justifie. (R.C. Sproul)
- Si votre foi et votre espérance sont en Dieu, alors vous avez une sécurité que personne ne peut détruire. (Charles Spurgeon)
- Beaucoup de gens pensent que le Christianisme, c'est que tu fais toutes les choses justes que tu détestes et évites toutes les choses méchantes que tu aimes afin d'aller au paradis. Non, c'est un homme perdu avec la religion. Un Chrétien réel est une personne dont le cœur a été changé ; ils ont de nouvelles affections. ( Paul Washer)
- Les Chrétiens prennent plaisir à lire les Ecritures, parce qu'elle parlent de leur Sauveur Bien-Aimé. (JC Ryle)
L'humilité est toujours la plus grande sauvegarde dans la vie spirituelle. Ainsi, lorsque nous sommes abaissés et humiliés, c'est bon pour nous ; et tout ce qui fait cela pour nous travaille pour notre bien. Dans cet état, nous commençons à voir une foule de choses que nous avions tendance à oublier. ( Martyn Lloyd-Jones)
- Nous prions mieux lorsque nous sommes tombés face contre terre dans une douloureuse impuissance. (Charles Spurgeon)
- Jésus Christ est le Seigneur souverain de l'Eglise. Sa parole est notre loi, Son adoration est notre amour, Sa volonté est notre vie. (Dr Steven Lawson)
- La sanctification est toujours et automatiquement une conséquence de la justification. (R.C. Sproul)
- La fondation de la vraie sainteté et du vrai culte chrétien est la doctrine de l’Évangile, ce que nous sommes à croire. Lorsque la doctrine chrétienne est négligée, abandonnée ou corrompue, la vraie sainteté et le culte seront aussi négligés, abandonnés et corrompus. (John Owen)
Le faux prophète est un homme qui n'a pas de " porte droite " ni de " voie étroite " dans son évangile. Il n'a rien qui est offensif à l'homme naturel ; il plaît à tous. Il est dans les vêtements de moutons, si attrayant, et si agréable à regarder. Il a un message également si agréable, confortable et réconfortant qu'il plaît à tout le monde et tout le monde parle bien de lui. Il n'est jamais persécuté pour sa prédication. Il est loué par les libéraux et les modérés, il est loué par les évangéliques. Il est toutes choses à tous les hommes dans ce sens où de fait il n'y a aucunement de porte droite avec lui, il n'y a pas de chemin étroit dans son message, il n'y a pas d'offense de la croix. " Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous dans des vêtements de moutons mais intérieurement sont des loups." Matthieu 7:15 (Martyn Lloyd-Jones)
Nous devons éviter de faire d'une facette de l'amour de Dieu son attribut absolu. Mettre l'accent exclusivement sur l'amour électif de Dieu conduit à l'hyper-calvinisme. A l'inverse, nous focaliser uniquement sur l'amour providentiel de Dieu pour sa création mène au panthéisme ou à toute autre forme de monisme. (Guillaume Bourin d'après une mise en garde de Donald Arthur Carson)
- Avec quelle difficulté les hommes font une petite bonté à leurs ennemis ; mais Christ nous a aimés alors que nous étions ses ennemis, qu'Il a joyeusement jeté sa vie sous les tourments les plus extrêmes pour nous sauver de l'enfer que nous méritions et nous amener à la gloire éternelle. (x)
- Celui qui demande grâce et n'en montre aucune, ruine le pont sur lequel il doit lui-même passer. (Thomas Adams)
- Le péché est généralement au fond de toutes les cachettes de la face du Seigneur ; demandons au Seigneur de nous en révéler la forme spéciale, afin que nous nous en repentions, que nous la surmontions et que nous l'abandonnions désormais. (Charles Spurgeon)
- Il n'y a pas de meilleur sentiment que de nous relever après nous être mis à genoux, sachant que Dieu a pardonné tous les péchés que nous avons commis. (R.C. Sproul)
- Lorsque l'obscurité tombe sur vous, lorsque la peur vous gagne, lorsque votre conscience troublée vous tourmente, lorsque votre cœur est brisé, le Christ est infiniment plus grand que les ténèbres, votre peur, votre conscience, votre cœur. Christ a restauré Pierre tombé. Il vous restaurera en venant à Lui. (Via Katy Von Bora)
- Je veux détester mes péchés plus que je déteste les péchés des autres qui pèchent différemment que moi. (Burk Parsons)
- Apprenons à connaître Christ, et Christ crucifié ; apprenons à chanter sa louange, à désespérer de nous même et à dire : "Toi, Seigneur Jésus, Tu es ma Justice, mais moi, je suis ton péché ; Tu as assumé ce qui est à moi, et Tu m'as donné ce que je n'étais pas. (...). "Réfléchissons bien à ce Grand Amour, et voyons y la plus Douce des consolations. En effet, s'il convient de parvenir à la quiétude de la conscience par nos efforts et nos épreuves, pourquoi donc est Il mort ? Nous ne trouverons donc la Paix qu'en Lui, après avoir désespéré de nous même et de nos œuvres ; nous apprendrons en outre de Lui même que, de même qu'Il s'est chargé de nous et qu'Il a fait Sien nos péchés, de même Il fait notre Sa Justice. (Martin Luther)
- Je vous remercie chaleureusement pour votre lettre. Quant à ce que vous et mes autres ennemis dites contre moi, je sais des choses pires sur moi que vous ne direz jamais sur moi. Avec amour en Christ, (George Whitefield)
- Cela ne vous fait pas être un témoin si vous savez qu'il y a de l'espoir que quelqu'un pourrait être sauvé. Je ne vais pas aller perdre mon temps si c'est à l'homme. Il ne viendra jamais ! Mais si je sais que la grâce souveraine peut souffler partout où elle souhaite sur le plus dur des cœurs, j'ai alors oui de l'espoir de témoigner. Je peux alors regarder mon voisin mort qui rejette l'Evangile, ou mon mari incroyable, année après année, et trouver l'espoir parce que le vent de la grâce pourrait souffler aujourd'hui. C'est un message de l'Evangile avec l'espoir à l'intérieur. (Jesse barrington)
- Le seigneur des lumières, par son Saint Esprit, veuille de ce saint et salutaire Evangile enseigner les ignorants, fortifier les faibles, illuminer les aveugles et faire régner sa vérité en tous peuples et nations, afin que le monde universel ne connaisse qu’un Dieu et un seul Sauveur, Jésus-Christ, une foi et un Evangile, Ainsi soit-il. (Jean Calvin)
- les non croyants peuvent tolérer Jésus christ aussi longtemps que celui-ci est dépouillé de sa véritable identité. (R.C. Sproul)
- Christ n'est pas un demi-sauveur. C'est une chose difficile d'amener des cœurs orgueilleux à se reposer sur Christ pour la justice. Dieu humilie les orgueilleux en appelant les pécheurs entièrement de leurs propres justices à Christ pour leur justification. (John Flavel)
- Prêchez Christ, il a été crucifié et ressuscité. Seul ce témoignage réconforte le cœur souffrant et encourage les croyants à continuer. Rien d'autre ne remplace la prédication pure et simple de l'Evangile. (Augustus Nicodemus)
- C'est maintenant votre opportunité tant que vous vivez. Le Christ ne vous invitera plus et ne s'offrira plus à vous après votre mort. (Jonathan Edwards)
- Sola Scriptura signifie que toute connaissance doit être soumise à l'autorité de la Parole de Dieu. Il n'y a pas d'autorité plus élevée dans ce monde que la Parole de Dieu. (Grant R. Castleberry)
- C'est une chose de prêcher sur la grâce en généralités. C'en est une autre d'expliquer la manière dont cette grâce devient opérationnelle dans la vie des croyants à cause de la mort substitutive, conjurant la colère, expiant le péché, conquérant Satan et assurant la consommation sécurisante de Jésus Christ. (Nick Batzig)
- "... ne craignez pas le reproche des hommes. Avoue le Christ audacieusement et sainement devant le monde. Montrez vos couleurs, et n'ayez pas honte de votre Maître. Le temps est court : l'éternité se précipite. La croix n'est que pour un court moment : la couronne est éternellement." ( J.C.Ryle )
- Si la croix n'est pas une folie pour le monde perdu, alors nous avons déformé la croix. (Dr Steven Lawson)
- "La repentance envers Dieu et la foi envers notre Seigneur Jésus Christ", telle était la somme des instructions apostoliques. Ce n'est pas une invocation occasionnelle du nom, ou une reconnaissance passagère de l'autorité du Christ, qui remplit la mesure des termes "Croire en Jésus". (William Wilberforce)
- Quant à moi-même, si je n'étais pas calviniste, je pense que ne devrais avoir plus d'espoir de succès dans la prédication aux hommes, qu'aux chevaux ou aux vaches. (John Newton)
- Bien que ma mémoire faiblisse, je me souviens très clairement de deux choses : je suis un grand pécheur et le Christ est un grand Sauveur. (John Newton)
- Celui qui peut dire : "Je sais que mon Rédempteur vit", sait que Son Rédempteur est au-dessus de tout et qu'il peut tout faire pour lui. (Jonathan Edwards)
- Comment savons-nous que Dieu nous a élus avant la fondation du monde ? Parce que nous croyons en Christ... La foi est comme la copie de notre adoption (acte). Dieu, dans son conseil éternel, garde l'original sur son registre et nous en donne une copie par la foi. (Jean Calvin (3ème sermon sur Ephésiens)
- De sa nature, en effet, Dieu est enclin à nous faire venir à lui d’une façon douce et aimable, tout comme un père ne demande qu’à gagner ses enfants, riant avec eux, et leur donnant tout ce qu’ils désirent ; si un père pouvait toujours rire avec ses enfants, et satisfaire leurs appétits, il est certain que tout son plaisir serait là. Dieu donc se montre tel avec nous… le propre de Dieu est de nous gagner doucement, tout comme un père tâchera de gagner ses enfants. Qu’est-ce donc que Dieu demande ? que nous le servions d’un cœur franc et libéral, et que nous le servions joyeusement. Et pourquoi , parce qu’il nous traite en toute humanité, qu’il nous donne tout ce qu’il faut, et que nous avons contentement et repos, si nous ne sommes pas des ingrats… (Jean Calvin)
Ces citations appartiennent à des Pères de l'Eglise, pasteurs, conducteurs, anciens, écrivains profanes ou non…. Chacune d’entre elles est une petite leçon de sagesse, ramenant toujours à l’essentiel et au principal : La Bible et son Divin Auteur qui est Dieu.
Je prie de tout mon cœur que Dieu éveille chacun de nous à la douceur, la beauté, la gloire de l'Évangile proclamée par le Christ. (R.C.Sproul)
Si nous étions laissés à nous-mêmes, nous ne serions pas seulement attirés par l'idolâtrie, mais nous nous y enfoncerions entièrement. (R.C. Sproul)
Au matin de la résurrection, nous dirons tous : "C'est bon pour moi que j'ai été affligé." Nous remercierons Dieu pour chaque tempête. (JC Ryle)
Ce qui remplit nos dimanches remplit notre cœur pendant la semaine. Le jour du Seigneur est un palais, non une prison. C'est un cadeau magnifique qui nous permet d'éteindre toutes les machines qui démarrent les activités quotidiennes et qui nous permet de couler nos racines dans ce terrain fertile qui fait pousser les fruits dans le jardin de Dieu. (Rev. Michael Horton)
L'essentiel de notre relation avec Dieu est fondé et enraciné dans la Grâce, dans ce que nous ne méritons pas. (R.C. Sproul)
Le roi Jésus n'est pas une simple figure de proue de l'Église. Il est le chef de l'église ! (Rev. Andrew Smith)
Si vous professez être Chrétien, mais que vous ne pouvez pas dire que vous n'avez pas de plus grande joie que le salut de vos enfants, vous avez raison de vous demander si vous auriez dû faire une telle profession. (Charles Spurgeon)
Nous n'avons pas besoin de plus de mouvements, de plus de conférences et de plus de célébrités. Nous n'avons pas besoin de la prochaine grande chose. Ce dont nous avons besoin, c'est de plus d'églises engagées dans la manière dont les disciples ont été formés depuis que les apôtres ont implanté une église à Jérusalem il y a deux mille ans. : le ministère lent, peu spectaculaire et ordinaire de la Parole et de la Sainte-Cène, où Dieu ressuscite des pécheurs morts et crée une communion vivante de saints. (Rev. Michael Brown)
Suivre Jésus Christ et résister à l'engouement pour les idoles de ce monde peut signifier marcher sur un chemin de solitude, de rejet et de chagrin d'amour. Mais la fin de toutes choses est proche et il y a des portes au bout de la route. Nous avons choisi la porte de l'espérance plus large car Notre Dieu est toujours avec nous. (Via @KatyvonBora)
La première grande et première affaire à laquelle je dois m'occuper chaque jour est d'avoir mon âme heureuse dans le Seigneur. Pour moi, cela signifie une heure tranquille seul avec Dieu et Sa Parole avant que quoi que ce soit d'autre ne puisse attirer mon attention. (Georg Müller)
Oh, remplissez le petit pouce de temps qui reste à Sa Gloire ; marchez avec Dieu ; vivez pour Dieu. Oh que chaque pensée, chaque mot, chaque action puisse être en sa faveur et à sa louange ! (Robert M. McCheyne)
L'Eglise a toujours prospéré plus sous la persécution que sous la prospérité. Alors ces jours pourraient bien être pour nous. (Steven Lawson)
En période d'adversité, les croyants se consolent avec le réconfort de ne souffrir que par l'ordonnance et le commandement de Dieu, car ils sont sous sa main. (Jean Calvin)
Nous devons être reconnaissants pour les chagrins occasionnels s'ils nous préservent de la dureté chronique. (Charles Spurgeon)
Mieux vaut être élagué pour grandir que coupé pour être brûlé. (John Trapp)
Découvrir ce que Dieu me dit dans une période difficile est plus important que de sortir de cette période difficile. (Hudson Taylor)
Le seul et unique remède du monde est la croix. (Charles Spurgeon)
Ceux qui vivaient à l'époque de Noé étaient en sécurité et nourrissaient leur cœur avec des plaisirs. Il en sera ainsi dans les derniers jours : les hommes seront en sécurité dans leur luxe et se moqueront des ministres de l'Evangile. (Thomas Manton)
Les méchants n'ont pas la Crainte de Dieu, ils s'en vont en perdition. Et de là vient qu'ils prennent tous une si grande audace, qu'ils ne cessent de faire la guerre contre Dieu, d'autant qu'ils sont enivrés d'une vaine assurance. Avec leur nonchalance ils se rendent stupides et s'endurcissent eux-mêmes. (Jean Calvin)
Combien de fois les persécuteurs des Chrétiens furent convaincus d'en avoir à jamais fini avec le Christianisme. En réalité, c'est leur vie qui s'achevait, tandis que le Christianisme verdoyait et fleurissait encore et toujours. (x)
La fierté est la plus grande puissance du monde, et rien de ce qui est connu de l'homme ne peut traiter le problème de la fierté. C'est pourquoi j'affirme à nouveau qu'il n'y a qu'une seule chose dans le monde en ce moment qui puisse donner la paix et l'unité, qui peut rassembler les hommes et les femmes et donner tout espoir d'une vraie paix véritable, et c'est la croix du Christ. C'est pour cela que le Chrétien s'y trouve. (Martyn Lloyd Jones)
La loi montre la maladie. L'Evangile donne le remède. (Martin Luther)
L'humain ne comprends pas qu'avant de vouloir sauver la planète, il faut d'abord qu'il le soit. (J-P Guichard)
Que la prière soit adressée à Notre Seigneur comme suit : "Viens vite !" Et demande aux pécheurs une égale mesure : "Viens au Christ !". Mélangez les deux à la fois avec sagesse et mettez le feu à tous les deux. Racontez que Christ viendra juger, puis invitez les hommes à venir à Christ. (Charles Spurgeon)
Je mis ma confiance en Christ Seul pour mon salut ; je reçus l'assurance qu'il avait ôté mes péchés. (John Wesley)
Vous avez une dure leçon à apprendre, c'est-à-dire le mal de votre propre cœur : vous en savez quelque chose, mais il est nécessaire que vous en sachiez plus; car plus nous nous connaissons, plus nous valoriserons et aimerons Jésus et son salut. (John Newton)
L'homme qui se contente de rester assis ignorant au coin du feu, enveloppé dans ses propres affaires privées, et qui n'a aucun œil public sur ce qui se passe dans l'Église et dans le monde, est un patriote misérable et un pauvre style de chrétien. . À côté de nos Bibles et de notre propre cœur, notre Seigneur voudrait que nous étudions notre propre temps. (JC Ryle)
L'inquiétude, c'est ne pas croire que Dieu va le faire bien, et l'amertume, c'est croire que Dieu s'est trompé. (Rev.Tim Keller)
Tout ce que nous vivons, chaque douleur que nous endurons et chaque larme que nous versons sont importantes - pour toujours. (RC Sproul)
Quel ami nous avons en Jésus, Lui qui porte tous nos péchés et nos souffrances ! Quel privilège d’apporter tout à Dieu dans la prière ! Oh, quelle paix nous perdons souvent, oh, quelle douleur inutile nous supportons, tout ça parce que nous n’apportons pas tout à Dieu dans la prière ! Sommes-nous dans l’épreuve et la tentation ? Rencontrons-nous des problèmes ? Nous ne devrions jamais nous décourager ; apportez toute chose au Seigneur dans la prière. Peut-on trouver un ami si fidèle, qui partagera toutes nos peines ? Jésus connaît toutes nos faiblesses ; apportez toute chose au Seigneur dans la prière. Sommes-nous faibles et chargés, encombrés d’un fardeau de soucis ? Précieux Sauveur, à jamais Notre Refuge. Apportez toute chose au Seigneur dans la prière, vos amis vous méprisent-ils, vous abandonnent-ils ? Apportez toute chose au Seigneur dans la prière. Dans ses bras, il vous prendra et vous protégera, vous y trouverez le réconfort. Sauveur béni, tu l’as promis, Tu porteras tous nos fardeaux. Puissions-nous toujours, Seigneur, t’apporter toute chose dans d’ardentes prières. Bientôt, dans la gloire, brillante, sans nuages, il n’y aura plus besoin de prier. L’extase, la louange et l’adoration sans fin seront notre douce part là-haut. (Poème de Joseph Scriven)
Oh ! Dis tu : «Je suis un si grand pécheur, Christ n'aura pas pitié de moi.» Oh ! Vous ne connaissez pas mon bienheureux Maître ; Il est plus aimant que vous ne le pensez. (Rev. Charles Spurgeon )
Ces citations appartiennent à des Pères de l'Eglise, pasteurs, conducteurs, anciens, écrivains profanes ou non…. Chacune d’entre elles est une petite leçon de sagesse, ramenant toujours à l’essentiel et au principal : Christ, la Bible et Son Divin Auteur qui est Dieu.
(Refuge Protestant)
Dans les préceptes de la loi, le Seigneur n'accepte que la justice parfaite, dont nous sommes privés, et se présente en exécuteur sévère des peines que nous méritons. Mais en Christ, sa face brille devant nous pleine de grâce et de douceur, alors que nous sommes de pauvres et indignes pécheurs. (Jean Calvin "Institution de la Religion Chrétienne")
Ne confonds pas ta repentance et ta foi comme ta justice. Votre seule justice est la justice imputée du Christ. (Jonathan Song)
La foi me rappelle en même temps ma vilénie contre Dieu et sa bonté envers moi ; elle me montre que même si je ne mérite pas ma prochaine bouffée d'air, Dieu souhaite que je sois un héritier de la gloire. (John Bunyan)
Le «Jésus moderne» est trop gentil pour affronter le péché, trop faible pour s'attaquer à l'erreur et trop impuissant pour réaliser un changement réel sans que nos agendas ne l'aident. Ce n'est pas le Christ de l'Écriture. (Rev. Dustin Benge)
La foi voit un plus grand bien en Christ que dans tous les trésors terrestres. (RichardSibbes)
Le premier auteur de toutes sortes de bien, c’est le Père qui nous plante de sa main ; et le commencement de vie est en Christ, depuis que nous commençons à prendre racine en lui. Quand il s’appelle le vrai cep, c’est comme s’il disait : ‘Je suis vraiment le cep ; les hommes se travaillent donc en vain à chercher vigueur ailleurs, d’autant qu’il ne viendra point de bon fruit d’ailleurs que des ceps qui seront produits de moi . (Jean Calvin, Commentaires sur Jean 15.1)
Chaque vent hurlant dans les tempêtes de la vie est destiné à nous rapprocher du Christ. (Steven Lawson)
Jésus est venu pour chercher et sauver ceux qui sont perdus. Il est celui qui cherche et nous sommes ceux qui le fuient. (R.C. Sproul)
Jésus-Christ atteste qu’il est aimé de son Père, en tant qu’il est le Chef de l’Eglise ; comme de fait cela nous est plus que nécessaire ; car celui qui sans le Médiateur cherche comment il est aimé de Dieu s’entortille en un labyrinthe, auquel il ne trouvera ni entrée ni issue. Pour cette raison, il nous faut dresser les yeux sur Jésus-Christ, auquel nous trouverons le témoignage et gage de l’amour de Dieu tout évident ; car l’amour de Dieu a été pleinement répandu sur lui, afin que de lui il découlât sur ses membres… Ainsi donc, nous pouvons contempler en lui comme en un miroir l’amour et la bonté paternelle de Dieu envers nous tous ; car il n’est point aimé à part, ni pour son profit particulier, mais afin de nous joindre au Père avec lui. (Jean Calvin, Commentaires sur Jean 15.9)
"En moi, dit Christ, reluit et est au vif représentée la similitude des choses que je requiers de vous ; car vous voyez bien comment je suis vraiment adonné à rendre une parfaite obéissance à mon Père, et comme je persévère en cette vocation. Lui aussi de son côté m’a aimé, non point pour un moment, ou quelque peu de temps, mais il continue perpétuellement son amour envers moi." Or cette conformité entre le Chef et les membres doit être incessamment devant nos yeux, non seulement afin que les fidèles s’étudient à se former à l’exemple du Christ, mais afin qu’ils aient bonne confiance d’être tous les jours réformés par son Esprit de bien en mieux, pour cheminer en nouveauté de vie jusqu’à la fin. (Jean Calvin, Commentaires sur Jean 15.10)
Le diable ne combat pas la religion. Il est bien trop intelligent pour ça. Il produit un christianisme contrefait, tellement ressemblant au vrai que certains chrétiens n'osent pas s'exprimer contre lui. (V. Havner )
Beaucoup d’Églises aujourd’hui ne se différencient guère des salles de spectacles ou des théâtres du monde. Voulant à tout prix être pertinentes et cool, elles imitent soigneusement les styles à la mode et les tendances de la culture populaire. (John Mac Arthur)
A ne pas offenser, beaucoup d'églises se compromettent, de tels événements sont fondés sur une philosophie pragmatique : si une chose produit l'effet désiré, alors elles la feront. Le résultat est une église d'adaptant aux pécheurs et non à Dieu, et certainement pas une église terrifiante pour les pécheurs. C'est un divertissement façonné à l'image du monde païen, où les méthodes et les stratégies prédominent sur les Écritures, la doctrine et la puissance spirituelle. Alors que le monde devient de plus en plus réfractaire à l’Évangile, l'église qui s'adapte aux pécheurs doit se compromettre de plus en plus pour demeurer attirante. En refusant de n'être offensante pour personne, elle met l'accent sur les émotions physiques au lieu de l'adoration spirituelle ; sur l'affirmation au lieu de la conviction ; sur le sentimentalisme au lieu de la théologie ; sur le divertissement au lieu de l'édification et sur la frivolité au lieu de la solennité. (John Mac Arthur)
Préserve-nous de tous les dangers auxquels nous sommes naturellement exposés, mais surtout des tentations du Diable. Ne permets pas que nous T'offensions par nos paroles, par nos actions, et par nos pensées. Que la méditation de notre cœur, que les discours de nos bouches, et que les actions de nos mains, Te soient agréables, ô Notre Grand Dieu ! Que nos cœurs soient purifiés par la Foi, et que nos yeux soient détournés des vains objets, et que nos oreilles soient fermées à toutes les séductions du monde. (Bénédict Pictet)
Si la foi n'était qu'une question de sentiments, alors lorsque les choses tournent mal et que les sentiments changent, la foi disparaîtra. Mais la foi n'est pas seulement une question de sentiments, la foi occupe tout l'homme, y compris son esprit, son intellect et sa compréhension. La foi est la réponse à la Vérité. (Martyn Lloyd-Jones)
Un homme qui est satisfait de sa propre justice ne valorise pas Christ. (Thomas Manton)
D’où vient que nous soyons justifiés par la foi ? C’est que, par elle, nous saisissons la justice du Christ, qui nous réconcilie avec Dieu. Or, nous ne pouvons saisir cette justice sans avoir aussi la sanctification… Christ ne justifie personne sans le sanctifier en même temps. Ces bienfaits sont joints par un lien permanent. Quand Christ nous illumine de sa sagesse, il nous rachète ; quand il nous rachète, il nous justifie ; quand il nous justifie, il nous sanctifie. Comme il n’est question, maintenant, que de justice et de sanctification, arrêtons-nous sur ces deux grâces. Bien qu’il faille les distinguer, elles sont inséparablement liées en Christ. Voulons-nous recevoir la justice en Christ ? Il nous faut, d’abord, posséder Christ. Or, nous ne pouvons le posséder sans être participants de sa sanctification puisqu’il ne peut pas être coupé en morceaux. Puisqu’il en est ainsi, le Seigneur Jésus ne donne jamais à quelqu’un la jouissance de ses biens sans se donner lui-même ; il les accorde avec largesse tous deux ensemble, jamais l’un sans l’autre. On voit donc combien cette formulation est vraie : nous ne sommes pas justifiés sans les œuvres, bien que ce ne soit pas par les œuvres, puisque la sanctification n’est pas moins contenue dans la participation de Christ, dans laquelle réside notre justice. (Jean Calvin - Institution de la Religion Chrétienne III, 16, 1)
Je pense que Dieu dans sa miséricorde infinie (et non dans une méchanceté implacable) nous place dans des circonstances difficiles afin que nous criions : sauve-nous, Dieu de notre salut, rassemble-nous, et retire-nous du milieu des nations, Afin que nous célébrions ton saint nom et que nous mettions notre gloire à te louer ! (Douglas Bond ) sur 1 Chroniques 16:35
Je crois que c'est le privilège du chrétien de porter toutes ses peines à son Dieu, qu'elles soient petites ou grandes. J'ai souvent prié Dieu au sujet d'une question dont vous ririez si je devais en parler. (Charles Spurgeon)
La seule façon d’avoir une reconnaissance durable, dans les bons comme dans les mauvais moments, est de demander humblement à notre Père de nous rendre reconnaissants et de lui demander chaque jour de nous rendre encore plus reconnaissants. (...)" "Que le nom de l’Éternel soit béni !" (Job 1.21) (Burk Parsons)
Il est agréable de temps en temps d'avoir la possibilité d'entendre une variété de prédicateurs, mais les meilleurs et les plus grands d'entre eux ne sont que des instruments ; certains peuvent plaire à l'oreille mieux que d'autres ; mais personne ne peut atteindre le cœur plus loin que le Seigneur ne veut l'ouvrir. (John Newton)
Il est irrationnel de nier l'existence de Dieu. (R.C. Sproul)
Au matin de la résurrection, nous dirons tous: 'C'est bon pour moi que j'ai été affligé.' Nous remercierons Dieu pour chaque tempête. (JC Ryle)
Christ Roi n'est pas une simple figure de proue de l'Église. Il est LE chef de l'église. (Rév. Andrew Smith)
La Bible est le sceptre par lequel le Roi Céleste dirige Son Eglise. (Jean Calvin)
Lorsque nous prions, rappelons qui nous sommes et à qui nous nous adressons. (R.C. Sproul)
Seul Dieu pourvoit aux conditions nécessaires pour qu'une personne ait la foi en Christ ; c'est pourquoi nous parlons de « sola gratia », car c'est par la grâce seule que nous sommes sauvés. (RC Sproul)
Ces citations appartiennent à des Pères de l'Eglise, pasteurs, conducteurs, anciens, écrivains profanes ou non…. Chacune d’entre elles est une petite leçon de sagesse, ramenant toujours à l’essentiel et au principal : Christ, la Bible et Son Divin Auteur qui est Dieu.
(Refuge Protestant)
Que Dieu me permette d'avoir un seul œil et un cœur simple, désirant plaire à Dieu, faire du bien à mes semblables, et témoigner de ma gratitude envers Mon Adorable Rédempteur. (William Wilberforce)
Je désire que les gens aiment le Seigneur, non seulement pour ce qu'Il fait pour eux, mais pour qui Il Est. (R.C. Sproul)
Le matin, alors que la rosée est sur l'herbe, la Grâce se répand sur l'âme. Laissons à Dieu les matinées de nos jours et le matin de nos vies. La prière doit être la clé du jour et la serrure de la nuit. (Charles Spurgeon)
Ne craignez pas parce que votre prière est balbutiante, vos mots faibles et votre langue pauvre. Jésus peut te comprendre. (J.C. Ryle)
Le premier lien entre mon âme et Christ n'est pas ma bonté mais ma méchanceté, non pas mon mérite mais bien ma misère, non pas ma richesse mais mon besoin. (Charles Spurgeon)
Le chrétien n'est pas un homme bon. C'est un vil misérable qui a été sauvé par la Grâce de Dieu. (Martyn Lloyd-Jones)
Un pécheur ne se décide pas pour Christ ; le pécheur vole vers le Christ dans une impuissance et un désespoir absolus. (D. Martyn Loyd-Jones)
Le sentiment que la Colère de Dieu repose sur nous dote l'esprit affligé et le cœur contrit non seulement d'une vraie crainte et déplaisance, mais aussi le mortifie vraiment, tellement qu'il ne trouve rien en soi, et ainsi cherche tout son salut en la Miséricorde de Dieu. (Jean Calvin)
Dieu ne requiert des pécheurs qu'une seule chose : qu'ils implorent Sa Miséricorde, étant humiliés et abattus. Un cœur contrit est suffisant devant Dieu. (Jean Calvin)
La loi n'est jamais venue pour sauver les hommes. Il n'en a jamais été l'intention. La loi est venue à dessein pour rendre la preuve complète que le salut par les œuvres est impossible, et ainsi de conduire et pousser les élus de Dieu à compter entièrement sur le salut fini de l'Évangile. (Charles Spurgeon)
Tel est le monde : "Suivez votre cœur, croyez en vous, découvrez-vous, soyez fidèles à vous..." Tel est Christ : "Suis-moi, crois en moi, renie-toi, sois fidèle à moi."(x)
L’Évangile est ouvert à tous ; le pécheur le plus respectable n'a pas plus de droits sur lui que le pire. (D. Martyn Lloyd-Jones)
La Bible n'a aucun confort à donner à des gens qui ne sont pas chrétiens. Absolument aucun... Sauf pour les avertir de fuir la Colère à venir. (D. Martyn Lloyd-Jones)
Le pouvoir de transformer les gens ne se trouve pas dans mon témoignage personnel. Cela se trouve dans la proclamation du Christ. (R.C. Sproul)
Nous ne croyons pas pour naître de nouveau ; nous sommes nés de nouveau afin que nous puissions croire. (R.C. Sproul)
La prière n'est pas magique. Dieu n'est pas un groom céleste prêt à nos côtés et appels pour satisfaire tous nos caprices. (R.C. Sproul)
Je ne demande pas si vous savez des choses sur Lui mais connaissez-vous Dieu ? Appréciez-vous Dieu ? Est-ce que Dieu est le Centre de votre vie, l'Âme de votre être ? La Source de votre Plus Grande Joie ? Il est censé l'être. (Martyn Lloyd-Jones)
Alors que tu grandis dans la connaissance de toi-même et du Seigneur, tu apprendras à être plus méfiant de ton propre cœur. (Louis Berkhof)
Jésus nous a donné le privilège incomparable d'appeler Dieu "Père". (R.C. Sproul)
L'expérience est l'école du Seigneur, et ceux à qui Il enseigne apprennent généralement qu'ils n'ont aucune sagesse, à cause des erreurs qu'ils commettent, et qu'ils n'ont aucune force, à cause des glissades et des chutes qu'ils rencontrent. (John Newton)
La faiblesse avec la vigilance tiendra là où la force avec trop de confiance échoue. (Richard Sibbes)
Dieu n'a pas besoin de vos bonnes œuvres, mais votre prochain en a besoin. (Martin Luther)
John Newton, autrefois infidèle et libertin, marchand d’esclaves en Afrique, fut, par la grande miséricorde de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, préservé, restauré, pardonné et désigné pour prêcher la foi qu’il avait si longtemps cherché à détruire.
Inscription sur la pierre tombale de John Newton,
Une terrible tempête agitait frénétiquement les eaux glaciales de l’Atlantique Nord.
Des vents de 130 km/h et des vagues de dix mètres frappaient le navire marchand anglais Greyhound, qui risquait de sombrer.
Les voiles et les mâts étaient détruits.
L’eau déferlait sur le pont chaque fois que les sommets des vagues venaient s’y écraser, projetant plusieurs hommes à la mer.
Les marins s’esquintaient désespérément aux pompes, pour boucher les fuites.
John Newton, marin de vingt-deux ans, détrempé et frissonnant, attaché à la barre, faisait tout ce qu’il pouvait pour que le navire garde le cap.
La peur de la mort le poussa à faire le point sur sa vie.
Les souvenirs de sa rébellion contre Dieu le remplissaient de désespoir, car il s’était moqué de Dieu et l’avait maudit pendant des années.
« Je sombre, se disait-il en lui-même, sous tout le poids de mes péchés, dans l’océan et dans l’éternité. »
La vie de John Newton avait commencé dans le grand bonheur et s’annonçait prometteuse.
Son père, capitaine au long cours, était souvent au loin, mais sa mère le couvrait d’amour.
Elle était une chrétienne marchant fidèlement avec Dieu et elle remplissait le jeune esprit de John d’histoires bibliques, de versets des Écritures et des chants et des hymnes d’Isaac Watts.
Elle lui disait souvent : « Quand tu seras grand, tu seras un pasteur fidèle, au service de Dieu. »
Cependant, quand il avait sept ans, la mère de Newton est morte, le privant ainsi des soins spirituels qu’elle lui prodiguait.
Peu après, son père s’est remarié. La belle-mère de Newton s’intéressait peu à lui ou au Seigneur. La lumière chrétienne du foyer disparut.
John Newton, souvent laissé à lui-même, se lia avec les pires vauriens du voisinage, troquant la foi de sa mère contre les blasphèmes et les mensonges de ses amis.
Newton détestait sa vie à la maison et à l’école, il supplia alors son père de l’emmener en mer.
À l’âge de onze ans, John Newton commença à travailler comme mousse sur le bateau de son père et s’adapta rapidement à la vie en mer ainsi qu’aux comportements pécheurs des marins.
Après quelques années, il quitta le navire de son père et travailla sur d’autres vaisseaux pour finalement aboutir sur un navire de marchands d’esclaves.
Sans la moindre pensée pour ces pauvres hommes, femmes et enfants africains dont les vies étaient détruites par le commerce des esclaves, Newton les mettait aux fers et les entassait comme des sardines, dans les étages inférieurs, sous le pont, où beaucoup d’entre eux mouraient avant même d’atteindre les rives du Nouveau Monde, à cause des conditions hygiéniques exécrables et de la maladie.
Il les considérait comme les autres marins les considéraient : juste une autre forme de cargaison, telle que la canne à sucre ou la cire d’abeille.
Au cours des ans, Newton devint un marin d’expérience et un fauteur de troubles grossier.
Méprisant ceux qui avaient autorité sur lui, Newton composait des chants vulgaires qui ridiculisaient le capitaine et le navire.
Les membres de l’équipage remplissaient l’air de ces chants abjects.
Newton admit plus tard : « Non seulement ai-je péché énormément moi-même, mais je m’assurais de ne jamais rater une occasion de tenter les autres. »
Les capitaines le détestaient. À cause de son comportement, il fut fouetté publiquement à plusieurs reprises.
Le dos de Newton était mis à nu et ses mains et ses pieds étaient attachés à une grille en bois.
Une douzaine de coups ou plus déchiraient la chair de son dos, jusqu’à ce qu’il s’écrase inconscient.
À un certain moment, Newton quitta le navire en Afrique pour échapper à un capitaine particulièrement cruel.
Il alla travailler pour un marchand d’esclaves qui finit par faire de lui aussi un esclave.
Quand il ne travaillait pas, Newton était enfermé et ne recevait qu’une petite ration de riz et de poisson cru pour sa survie.
Il craignait de finir sa vie en tant que misérable esclave sur la côte africaine.
Le père de Newton, inquiet au sujet de son fils, demanda aux capitaines de navire qui quittaient l’Angleterre de le rechercher.
Le Greyhound, qui longeait la côte ouest-africaine, rencontra Newton.
Le capitaine lui dit : «Votre père se fait du souci pour votre bien-être. Vous êtes bienvenu de vous joindre à nous et de retourner en Angleterre.»
Newton embarqua et entreprit le voyage vers le nord, mais, peu avant d’arriver, des vents violents se levèrent et la mer devint grosse.
C’est ainsi que Newton se retrouva attaché à la barre du Greyhound sur le point de sombrer.
Il se sentait aussi brisé que le navire ballotté par la tempête.
C’est là que ses pensées se tournèrent vers le Christ pour la première fois depuis bien des années.
Il se demandait : « Christ est mort pour des pécheurs, mais pourrait-il pardonner mes péchés qui sont si nombreux et si terribles ? J’ai rejeté la vérité de Dieu que m’a enseignée ma mère; peut-il me pardonner cela ? »
Quand son quart à la barre fut terminé et que la tempête se fut un peu calmée, il trouva un Nouveau Testament et commença à lire.
Luc 11:13 l’inspira à mettre sa vie dans les mains du Seigneur : « Si donc, vous qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent. »
Newton se disait en lui-même : « Si ce livre est vrai, la promesse dans ce passage est vraie elle aussi. Dieu promet ici de donner l’Esprit à ceux qui le lui demandent. Je dois, par conséquent, prier et si c’est de Dieu, il accomplira sa Parole. »
En larmes, il pria pour demander pardon et obtenir la vie nouvelle.
Le navire réussit à rester à flot et quand John Newton atteignit de nouveau la terre ferme, il était un homme transformé.
Il se joignit immédiatement à l’Église, reçut la sainte Cène et fit le vœu de servir Dieu.
Newton étudia la Bible sérieusement, lut les meilleurs livres chrétiens qu’il put trouver et développa des amitiés intimes avec George Whitefield et d’autres dirigeants chrétiens.
Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que Newton, encouragé par ses amis, perçoive l’appel de Dieu au ministère pastoral.
Il passa les examens en vue de l’ordination de l’Église d’Angleterre et commença à œuvrer comme pasteur à Olney, une ville pauvre au nord de Londres.
Il disait : « Le Seigneur m’a envoyé ici, non pas pour que je devienne un grand orateur, mais pour gagner des âmes pour le Christ. »
Ses soins remplis d’amour, ses prières, ses visites au chevet des gens gagnèrent le cœur des gens de Olney.
Il commença une rencontre de prière hebdomadaire au milieu de la semaine ainsi que des rassemblements le dimanche soir chez lui.
Bien que lui et sa femme furent sans enfants, Newton aimait beaucoup les enfants.
« Je veux leur parler et leur expliquer les Écritures à leur niveau », disait-il.
C’est ainsi qu’il commença des rencontres pour les enfants.
Ceux-ci aimaient énormément ses histoires passionnantes et les modèles réduits de bateaux qu’il fabriquait avec du papier.
Bientôt, plus de deux cents enfants se rassemblaient autour de lui chaque semaine pour apprendre les choses de Dieu.
Sa notoriété et son influence grandirent, mais il ne perdit jamais de vue qu’il était un pécheur sauvé par Grâce. Sur son lit de mort, il dit à un de ses amis : « Je n’ai presque plus de mémoire, mais je me souviens de deux choses : que je suis un grand pécheur et que Jésus-Christ est un grand Sauveur. » Newton travailla sans relâche à l’abolition de l’esclavage dans l’Empire britannique, écrivant des tracts, témoignant devant le Parlement et inspirant des hommes d’État tel que William Wilberforce à utiliser leur pouvoir pour mettre un terme au commerce des esclaves.
Newton avait des talents de poète.
Il les mit à l’œuvre et composa des hymnes, des centaines d’hymnes.
À certains moments, il écrivait un nouvel hymne pour chaque rencontre de prière hebdomadaire.
« Grâce infinie »,« Des choses glorieuses sont dites de toi » et « Combien doux est le nom de Jésus à l’oreille du croyant » sont les plus aimés.
Il écrivit l’histoire de sa conversion à Jésus-Christ qui devint un livre à succès en Angleterre et aux États-Unis.
Newton travailla sans relâche à l’abolition de l’esclavage dans l’Empire britannique, écrivant des tracts, témoignant devant le Parlement et inspirant des hommes d’État tel que William Wilberforce à utiliser leur pouvoir pour mettre un terme au commerce des esclaves.
Sa notoriété et son influence grandirent, mais il ne perdit jamais de vue qu’il était un pécheur sauvé par Grâce.
Sur son lit de mort, il dit à un de ses amis :
« Je n’ai presque plus de mémoire, mais je me souviens de deux choses : que je suis un grand pécheur et que Jésus-Christ est un grand Sauveur. »
Il écrivit ces paroles qui furent gravées plus tard sur sa pierre tombale :
« John Newton, autrefois infidèle et libertin, marchand d’esclaves en Afrique, fut, par la grande miséricorde de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, préservé, restauré, pardonné et désigné pour prêcher la foi qu’il avait si longtemps cherché à détruire. »
John Newton est mort à l’âge de quatre-vingt-deux ans.
Sa vie remarquablement transformée et ses hymnes de louange sont toujours aujourd’hui un témoignage de la grâce stupéfiante de Jésus-Christ.
Pr. Richard Hannula, *
Source :
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*Richard Hannula est diplômé de Phi Beta Kappa de l'Université de Californie du Sud avec un BA en histoire. (histoire, civisme, économie et algèbre avec spécialisation 2). Il a également obtenu une maîtrise en éducation de l'Université de Washington. En plus de son enseignement, M. Hannula planifie et dirige la tournée historique biennale en France et au Royaume-Uni. Il est l'auteur de plusieurs livres, dont : Trial and Triumph : Stories from Church History ; Hugh Latimer : premier prédicateur de la Réforme anglaise ; et Radiant: Cinquante femmes remarquables dans l'histoire de l'Église. Son livre, Our Northwest Heritage, est le manuel le plus largement utilisé pour l'histoire du Pacifique Nord-Ouest par les écoles chrétiennes et les homeschoolers de l'État de Washington. M. Hannula est membre de la faculté du SHC depuis la fondation de l'école en 1992.
Ces citations appartiennent à des Pères de l'Eglise, pasteurs, conducteurs, anciens, écrivains profanes ou non…. Chacune d’entre elles est une petite leçon de sagesse, ramenant toujours à l’essentiel et au principal : La Bible et son Divin Auteur qui est Dieu.
(Refuge Protestant)
Il faut que Jésus Christ vous reçoive tel que vous êtes. N'attendez pas un jour de plus ; allez à ce bon Sauveur tel que vous êtes... Priez toujours sans vous tourmenter de ce que vos prières sont encore très imparfaites ; n'offrez rien au Sauveur ; ne Lui promettez rien, pas même de l'aimer, ni de le servir mieux ; mais demandez-Lui tout, absolument tout, Il donne tout gratuitement à tous ceux qui ne croient pas pouvoir le payer(..) (Félix Neff)
Il n'y a pas de peste plus mortelle que pour les hommes d'être laissés à la direction de leurs propres conseils ; la seule chose qui nous reste à faire est de renoncer aux préceptes de la sagesse charnelle, et de suivre les conseils de l'Esprit Saint. (Jean Calvin)
Christ nous a donné l'incomparable privilège d'appeler Dieu Père. (R.C. Sproul)
Quelle grâce d'avoir la liberté d'invoquer Dieu ! Quelle sagesse que d'en faire bon usage ! C'est folie de recourir aux hommes, quand le Seigneur nous invite à Lui présenter nos cas à Lui-même. (Charles Spurgeon)
« Votre vie est cachée avec Christ en Dieu ». Elle demeure avec celui qui est la fontaine de vie. C’est pourquoi il ne faut pas que nous nous effrayions, si, regardant de tous côtés, nous ne voyions toutefois la vie nulle part, car nous sommes sauvés en espérance. (Jean Calvin) Commentaires sur Colossiens 3:3
La nature de la foi est de s’assurer et de se reposer sur les biens que nos yeux ne voient pas. La foi ne se mesure pas par le regard charnel ; elle a des yeux qui voient le royaume invisible et qui se contentent du miroir de sa Parole. (Jean Calvin)
Les principes de la Bible ne changent pas ; ils sont absolus. Les références quant au bien et au mal s'y trouvent, en dépit de tout ce que peuvent en dire les hommes. Les seuls critères véritables et sûrs quant au bien et au mal sont les principes de l'Ecriture. Le conseil de la Bible est infaillible. (J. Palmer)
Ceux qui viennent vraiment à Dieu pour la miséricorde, viennent comme des mendiants, et non comme des créanciers ; ils viennent pour la clémence, pour la grâce souveraine, et non pour quelque chose qui est dû. (Jonathan Edwards)
La foi n'a rien à voir avec les sentiments ou les impressions, les improbabilités ou les expériences extérieures. Si nous désirons associer la foi avec de telles choses, alors nous ne nous reposons plus sur la Parole de Dieu, parce que la foi n'a besoin de rien de la sorte. La foi repose sur la Parole nue de Dieu. Quand nous Le prenons à Sa Parole, le cœur est en paix. (Georg Müller)
Savoir que Dieu sait tout de moi et que pourtant il m'aime tout de même est ma consolation ultime. (R.C. Sproul)
«Si nous disons que nous n’avons pas péché, sa parole n’est pas en nous». Nous profitons de la Parole divine quand nous sommes humiliés, en sorte que gémissant sous le poids du péché, nous recourons à la miséricorde de Dieu et ne nous reposons ailleurs qu’en la bonté paternelle de Dieu. (Jean Calvin)
Vous trouverez toute la vraie théologie résumée dans ces deux phrases courtes : le salut est tout de la grâce de Dieu. La damnation est toute la volonté de l'homme. (Charles Spurgeon)
La moralité ne sera d'aucun secours pour tout salut éternel. (Charles Spurgeon)
Un accident peut m'arriver, mais rien ne peut m'arriver par accident. (Mike Evans)
Dieu, dans tous les âges, dans son tendre soin pour ses églises et ses vérités, a toujours qualifié et excité ses serviteurs pour la défense de ses précieuses vérités, contre les erreurs et les hérésies qui les ont assaillies successivement…Quand, ou en tout lieu, des erreurs venimeuses, et des hérésies mortelles se présentent, il a ses serviteurs à portée de main avec des antidotes contre eux…Ainsi le souci de la Providence, dans tous les siècles, a été aussi bien montré dans la protection de l’église contre les dangers qui ont surgi de faux frères en son sein, tout comme de ses ennemis jurés, la persécutant du dehors; et, si cela n’avait pas été le cas, les mauvaises herbes des hérésies et des erreurs auraient depuis longtemps, envahi et étouffé le blé, et rendu l’église stérile. (John Flavel)
Frustrer l'efficacité humaine est l'un des principaux moyens par lequel la Grâce de Dieu nous sanctifie et nous fait dépendre de Lui. (John Piper)
"Peut-être leur supplication tombera-t-elle en face de Dieu." (Jérémie 36/7). L'Ecriture dit que la prière monte et qu'elle tombe : l'un et l'autre conviennent très bien. Car la prière ne peut être bien dressée si l'homme ne monte et qu'il ne tombe. Ces choses semblent bien être contraires, mais elles s'accordent aisément, et même on ne peut pas les séparer. Car il y a deux choses nécessaires à la prière, la foi et l'humilité. Par la foi nous nous élevons à Dieu et par humilité nous sommes prosternés. Ainsi donc, la prière est élevée en haut par la foi, mais elle tombe bas en terre par humilité, parce que la crainte doit être conjointe avec la foi. Et comme la foi engendre en nos cœurs une gaieté et une joie par confiance, ainsi semblablement la conscience nous abat et prosterne. (Jean Calvin)
L'humilité n'est pas quelque chose que nous apportons à Dieu : c'est simplement le sentiment de notre absolu néant, qui s'empare de nous quand nous voyons combien il est vrai que Dieu est tout. Alors nous avons soif de disparaître pour que Dieu soit tout. (A. Murray)
Dieu juge avec Amour, les hommes avec malice. (Johan Falkberget)
L’amour chrétien est sans doute difficilement conciliable avec la profession de doctrines antichrétiennes ; mais la connaissance et la défense de la vérité qui ne sont pas accompagnées de l’amour chrétien n’ont que les apparences de la foi : l’orthodoxie n’est pas la piété (L. Burnier)
Naître à la Foi Chrétienne vivante enclenche une querelle permanente à l'intérieur de nous-mêmes. On doit combattre le péché, si on veut être Ami de Dieu. (John Charles Ryle)
Ce n'est pas tomber dans l'eau qui noie, mais rester dedans sans se débattre. Ce n'est pas tomber dans le péché qui condamne, mais rester dedans sans repentance. (Thomas Watson)
Quand une personne dit : "tout ce que j'ai besoin de savoir, c'est Jésus. La doctrine n'est pas importante." Nous devrions immédiatement demander en réponse : "Qui est Jésus ?". Au moment où une personne commence à répondre à cette question, la personne est inéluctablement, inévitablement impliquée dans la doctrine. (R.C. Sproul)
En regardant Jésus. Le devoir, le privilège, la sécurité, le bonheur indicible d'un croyant sont tous compris dans cette seule phrase. (John Newton)
Meurtrier de la pensée, c'est l'âge de l'amusement excessif. Tout le monde aspire à cela, comme un bébé à son hochet. Dans les années plus sobres de nos pères, hommes et femmes avaient mieux à faire que de vivre pour des sports idiots. Les épines étouffent l’âge. (Charles Spurgeon)
L'important n'est pas de savoir lire mais de savoir ce qu'on lit, de raisonner sur ce qu'on lit, d'exercer un esprit critique sur la lecture. En dehors de cela, la lecture n'a aucun sens. (Jacques Ellul)
Dieu veut que la charité mutuelle règne entre nous de telle façon que Dieu soit préféré. Il conjoint avec l’amour de Dieu l’observation de la loi, et à bon droit. Il faut que celui qui l’aime ait ses affections formées et dressées en l’obéissance de la justice. Commentaires sur 1 Jean 2-2.(Jean Calvin)
Vous êtes des mots de passe, de la recherche et de l'enseignement de ce que la Bible dit est vrai, et pas que vous voulez que la Bible soit vraie. (R.C. Sproul)
Je ne prie pas pour que ma mort soit sans douleurs, mais pour qu'elle soit sans doutes. (John Piper)
" J'avoue que je donnerais à peine un penny pour tout salut que je pourrais perdre. La vie éternelle est la chose dont nous avons besoin, la Vie de Dieu, qui ne peut jamais changer ou être enlevée de nous, et c'est ce qui est donné à toutes celles et ceux qui croient en Jésus Christ."
Car, lorsque que nous étions
encore sans force,
Christ, au temps marqué,
est mort pour des impies
(Romains 5-6)
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